25/05/2012
La cravate de Simenon, ce 6 juin en librairie
Que vous soyez à Oslo, Vancouver, Hanoï, Sidney ou Jakarta, c'est ce 6 juin 2012 que vous pourrez trouver en librairie mon nouveau roman "La cravate de Simenon".
Destiné en premier lieu aux adultes qui apprennent le français partout dans le monde, ce roman raconte le parcours d'un gamin de Liège, dans une famille de grands lecteurs. Il fait partie d'une toute nouvelle collection des éditions Didier, intitulées Mondes en V.F.
Voici le résumé officiel du livre, tel qu'il figure au dos de la couverture.
Vous donne-t-il envie de le lire ?
Si Léopold a trouvé du travail, c'est grâce à cette cravate. S'il a découvert sa vocation d'écrivain, c'est encore grâce à elle. Avant lui déjà, son père avait soin de la porter dans les moments décisifs de l'existence.
Ce qu'elle a de spécial ? Son origine : elle aurait appartenu à Georges Simenon, le célèbre écrivain belge !
Mais lorsque le père de Léopold tombe gravement malade, la pauvre cravate semble impuissante...
A moins que ?
Un roman tour à tour drôle et émouvant sur une relation pleine de pudeur entre un père et son fils.
Editions DIDIER - Coll. Mondes en VF
Version audio téléchargeable gratuitement pour les acheteurs du livre.
Sortie le 6 juin 2012
15:54 Publié dans Ecriture, Liège, Notes de lecture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nicolas ancion, georges simenon, liège, roman, littérature, mondesenvf | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
01/05/2012
A quoi ressemble un auteur tout nu ?
Pour répondre à la question, il faudra venir vous déshabiller dans la banlieue de Liège le week-end prochain. Ceci dit, je pense qu'un auteur nu ça ressemble parfaitement à un type de quarante ans tout nu, peu importe qu'il soit boulanger ou comptable, bouliste ou conteur professionnel.
C'est justement l'intérêt de la nudité de mettre tout le monde sur le même pied ou presque (pas les unijambistes, peut-être), ouvriers comme patrons (mais des patrons unjambistes, y en a-t-il beaucoup ?)
L'autre état qui remet tout le monde à plat (joliment utilisé par François Villon il y a bien longtemps de cela, souvenez-vous) c'est celui de squelette. Mais une photo collective d'une assemblée de squelettes est plus difficile à organiser. On reste donc sur l'idée de la tenue d'Adam (et d'Eve, vu qu'ils avaient à peu près la même).
Ce samedi 5 mai à 14h, donc, je tomberai la veste et tout le reste dans le cadre d'un tournage et d'une séance photo à Liège.
Et c'est bien le moins que je puisse faire car le film tourné servira dans le cadre de l'adaptation sur scène de mon roman : « L'homme qui valait 35 milliards ».
La scène qui sera filmée, je l'ai précisément décrire dans le roman. Elle est un peu trop longue pour que je la retranscrive ici au complet, voici juste l'ouverture de la séquence :
« Richard tend la laisse à Octavio et s'avance à grandes enjambées vers l’immense esplanade, un terrain en friche, au cœur de la ville, où une poignée d'ouvriers sont rassemblés près d'une tente kaki. Il tombe une pluie fine, légère, qui ne semble troubler personne, elle humidifie les anoraks et les vestes en jeans, les cheveux coupés courts et les capuchons colorés. Il y a quelques vieux, deux enfants, des ouvriers aux mains épaisses et au regard buté, d'autres plus fluets, l'air de manquer de tout, à commencer par la nourriture. Toledano s’approche de Richard.
– J'ai bien cru que vous n'arriveriez jamais. J'ai appelé plusieurs fois de suite sur ton portable, mais je suis chaque fois tombé sur le répondeur.
– Je n'aime pas les portables, dès que je l'allume, je le coupe. Il y a combien de personnes?
– On n'a pas compté… Une petite centaine, maximum.
– C'est très bien comme ça. Léon, tu distribues les boulons? Je mets mon appareil en place. »
Si je partage cette activité de mon agenda avec vous, c'est que l'équipe est encore à la recherche de figurants qui n'ont ni froid aux yeux ni aux fesses. Et que tout le monde est le bienvenu, sans réserve ni d'âge ni de sexe ni de quoi que ce soit d'autre...
Voici l'appel, répondez-y nombreux !
Un couscous festif, c'est meilleur quand on est nombreux !
Et n'hésitez pas à relayer l'info autour de vous. Merci !
AVIS à TOUS !!
Pour le petit film qui sera intégré à notre futur spectacle "L'homme qui valait 35 milliards" (adaptation du roman de Nicolas Ancion , récit de Richard, un plasticien liégeois,qui, en réaction à la fermeture du site Arcelor Mittal, enlève Lakshmi Mittal et lui fait réaliser des œuvres d'art ), nous cherchons toujours des personnes qui figureraient la préparation d’une photo genre Spencer Tunick (voir photo:il s'agit donc d'être nu!).
Le tournage aura lieu à Liège, sur un site privé, le samedi 5 mai, et se terminera par un grand couscous festif ! Nous offrons des invitations pour le spectacle et un tirage de LA photo (c'est Goldo qui sera notre Spencer Tunick liègeois!)
Vous devez vous inscrire à l’adresse: 35milliards@hotmail.be ou télèphoner au : 0470/60 72 90 où notre chef de file vous indiquera l'adresse, les modalités...
13:56 Publié dans Liège, Rencontres publiques, Théâtre en cours | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : liège, roman, film, théâtre, l'homme qui valait 35 milliards, lakshmi mittal | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer