11/12/2010
Le cadeau de Noël idéal !
La chasse aux cadeaux est ouverte ! C'est chaque année le même cirque, il faut non seulement trouver des idées de cadeaux pour des tas de gens mais aussi en donner à plein d'autres qui ne savent pas quoi vous offrir.
C'est là que ce blog peut vous être utile !
Mon dernier roman est très joli, il est plein d'illustrations de Patrice Killoffer, il est imprimé sur du beau papier et, du coup, il est un peu cher. Ce n'est pas vraiment un tarif de livre de poche. C'est en revanche un très bel objet à demander à ceux qui vous aiment très fort.
(D'accord, s'ils vous aimaient tant que ça ils auraient eu l'idée eux-mêmes. Mais dites-vous bien qu'une petite suggestion pour un cadeau sur mesure vaut mieux qu'un cadeau mal choisi qui dort au fond de l'armoire jusqu'au prochain déménagement.)
Pour la Noël, offrez-vous donc ou faites vous offrir "L'homme qui refusait de mourir" (Éditions Dis Voir, 111 pages, ISBN 2914563574, 29 EUR).
Et si vous êtes timide, que vous n'osez pas suggérer vous-même ce cadeau, partagez ce lien sur Twitter, sur Facebook ou sur le truc que vous voulez. affichez-le à la fenêtre de votre appart, sur la portière de votre 4x4, portez-le en badge, même... Qui sait, ça donnera peut-être des idées à ceux qui veulent vous faire plaisir !
19:12 Publié dans Ecriture, Notes de lecture | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : noel, cadeau, livre, roman, littérature, nicolas ancion, patrice killoffer | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
12/08/2010
Projet secret pour la rentrée littéraire (2)
Fin septembre sortira mon nouveau roman, illustré par Patrice Killoffer (voir plus tôt), rédigé après plusieurs rencontres avec un chercheur de l'INSERM, spécialiste du vieillissement des unicellulaires (bactéries et microbes).
Pour vous donner une idée de ses recherches, voici un extrait d'un article publié en 2005 dans Libération :
On les croyait éternellement jeunes. Les microbes vieillissent aussi. Le mythe de « l’immortelle bactérie » s’écroule tandis que s’ouvrent des perspectives pour la recherche sur les maladies liées à l’âge, Alzheimer ou Parkinson.Quand l’avion a heurté la première tour, le 11 septembre 2001, François Taddei, alors âgé de 34 ans, réfléchissait à l’évolution des bactéries dans un laboratoire de l’université Rockefeller à Manhattan, New York. Il se souvient de la haute colonne de fumée noire, de l’autre coté de la baie vitrée, du gratte-ciel qui s’effondre, puis du second, des sirènes, du désastre. Il se souvient aussi que c’est au cours de ce séjour dans le temple de la recherche américaine berceau d’une vingtaine de prix Nobel qu’il a trouvé la clé technique du projet scientifique dont les premiers résultats, trois ans plus tard, ouvrent une fenêtre vertigineuse sur l’origine et l’identité des forces naturelles qui poussent la vie, inéluctablement, vers la mort. Directeur d’une équipe de recherche à l’Inserm, généticien moléculaire, François Taddei a publié ce mois-ci, en collaboration avec trois autres chercheurs, une expérience qui démontre que les microbes aussi vieillissent (1). La découverte peut sembler triviale. Elle bouleverse pourtant la connaissance du monde unicellulaire et offre un nouvel horizon à la recherche sur la sénescence des multicellulaires. L’homme entre autres. (lire la suite)
Le roman prend, du coup, pour toile de fond la quête d'éternité. La science peut-elle vraiment ralentir le vieillissement et prolonger la vie éternellement ? C'est une question intéressante, bien sûr, pour un romancier, surtout.
Bactérira bien qui rira le dernier...
13:35 Publié dans Ecriture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nicolas ancion, roman, rentrée littéraire 2010, bactéries, littérature française, patrice killoffer, françois taddéi, vieillissement | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer