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25/09/2014

Vingt-quatre heures, c'est deux fois douze heures

Je suis au Vietnam pour fêter la sortie de la traduction en vietnamien de mon roman "Quatrième étage" (qui, puisqu'il est bien traduit, s'appelle ici "Cinquième étage", vue que le rez-de-chaussée est appelé premier, comme aux Etats-Unis - j'espère que vous avez suivi, sinon ce n'est pas grave) et j'en ai profité pour me lancer dans un nouveau marathon d'écriture.

Je rédige à nouveau un roman en 24h chrono, mais cette fois, pour varier les plaisirs, en deux fois 12 h, à Hanoï (le 25/9) et à Ho Chi Minh Ville (le 30/9).

Si vous voulez lire le roman, c'est gratuit et c'est en intégrale ici :

Amusez-vous bien et n'hésitez pas à laisser vos commentaires. Ils pourront être utiles pour l'écriture de la seconde partie.

Commentaires

Ce qui est incroyable c'est le fait de pouvoir lire un roman au même moment qu'il est erit. Je viens de finir la ou vous etes arrete. C'est excitant d'attendre pour lire la suite. Ce que je saisie de la lecture, c'est les contrastes spacio-temporels entre le reel et le virtuel, le limite et l'infini, entre l'asbtrait et le materiel.. L'existence de l'homme vacille toujours entre legerete et lourdeur, et on y est tellement emprisonne par son travail (machinale, routine) par son quatier, par ses propres relations qu'on ne se rend pas compte des choses essentielles, de notre vie.

Écrit par : Tran Le | 30/09/2014

Merci, Tran Le, pour ce gentil commentaire et la lecture !
Je vais marquer une pause pour manger un bout, je reviens très vite vous écrire la suite. C'est formidable de savoir qu'on est lu en temps réel.

Écrit par : Nicolas Ancion | 30/09/2014

J'apprecie bien la mise en relief les instants instantanes mais devenus eternels: le baiser avec Nuong sur la nacelle llorsqu'il a la coupure d'electricite et je me rappelle ainsi de l'instant de la mort de Toni dans "au 4e etage". Comme l'criture eternellise ces instants ci. La dimension emotionelle est tres forrte. C'est la cômpassion au sens de Kundera : je vis vraiment l'emotion du personnage, j'entre dans la peau du personage pour me resentir de la peur, du chagrin. Quelque passage m'evoquent de l'absurde aussi

Écrit par : Tran Le | 30/09/2014

Vous devez avoir visite Hcm ville et Hanoi pour avoir les descriptions bien precises. La transition Hanoi et Hcm est un peu brusque pour moi. Le va et vient du passe et present est bien agence mais constitue une complexite têmporelle car de ces framents de temps on pourrait inventer des histoires differentes. Vỏte texte donne l'effet de visualisation : c'est comme si je suis en train de voir un film âmericin de science fiction: la ville est envahie par des enrages contamine d'une maladie bizares. :-)

Écrit par : Tran Le | 30/09/2014

Oui, quand viendra l'heure de retravailler le texte, de le tailler et de le peaufiner, je n'hésiterai sans doute pas à changer certains blocs de place. HCMC pourrait venir beaucoup plus tôt dans le récit. En même temps, je tiens à ce qu'on ne sache pas trop vite que le fléau est si répandu. Faut laisser un peu d'espoir aux personnages.
Encore merci pour tous les commentaires (et les comparaisons qui m'honorent).

Écrit par : Nicolas Ancion | 30/09/2014

J’aimerais bien que les personnages à Hanoi se rassemblent au Water Park--

Écrit par : Tuong Cam | 30/09/2014

Je vais leur poser la question et voir s'ils sont d'accord ! Merci pour la suggestion :-)

Écrit par : Nicolas Ancion | 30/09/2014

Les commentaires sont fermés.