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29/11/2011

Dédicaces ce samedi à Montreuil

Image-1-150x150.pngBien que je publie de la littérature jeunesse depuis une dizaine d'années, c'est la première fois que j'irai au Salon du Livre Jeunesse de Montreuil, ce samedi 3 décembre à partir de 10h.

J'aurai le plaisir de signer "Momies et compagnie", aux côtés de Bruno Tatti sur le stand des Editions Graine 2.

Si vous êtes dans le coin ou si vous aimez prendre le train, si ce jour-là vous ne faites rien et que vous n'êtes pas trop loin...

... venez tout plein ! On vous garantit de superbes dédicaces à 4 mains !!

(Et un cadeau pareil, pour Noël, c'est hyper trop bien.)

30/10/2008

Où trouver le Garçon qui avait mangé un bus

graçon qui.jpgIl y a quelques semaines, Bruno Coppens lisait à voix haute mon roman "Le garçon qui avait mangé un bus" sur la scène du Botanique à Bruxelles, dans le cadre du premier Marathon des Mots. Une belle occasion de découvrir ce texte qui n'a jamais jusqu'à présent été distribué en librairie. Vendu uniquemenent sur abonnement aux élèves de 11 à 13 ans, ce roman pour ados est désormais disponible en vente directe sur Internet via le site de l'éditeur. Les enseignants peuvent l'acheter par colis de 5 exemplaires d'un coup (à un prix défiant toute concurrence) et les autres à la pièce pour la somme tout aussi modique de 5 euros tout ronds.

Pour vous donner envie d'en savoir plus, voici le texte en quatrième de couverture :

Le garçon qui avait mangé un bus

Depuis l'accident qui a totalement détruit le bus dans lequel il était, Joseph a mal à la tête. Et quelques méchants trous de mémoire: impossible de se souvenir d'où sort la boue qui macule le bas de son pyjama. Ni de ce qu'il fait en ce moment sur le boulevard, les bras chargés de courses, alors qu'il devrait être à l'école. Et pourtant, cela aurait pu être bien pire: certains passagers du bus sont toujours à l'hôpital, plongés dans le coma...

La politesse voudrait qu'on ne lise pas le courrier destiné aux autres, qu'on n'ouvre pas le journal intime des inconnus, qu'on n'écoute pas les conversations qu'on surprend par hasard, dans le train, dans la rue. Mais la curiosité est souvent plus musclée que la politesse, elle a au moins une tête de plus et des tas de copains baraqués qui lui viennent en aide: l'indiscrétion, le culot, le goût de l'interdit, l'envie de savoir et le plaisir de fourrer son nez dans les affaires d'autrui. On demandera donc à la politesse d'excuser les lignes qui suivent et on remerciera au passage la curiosité pour son intervention bénéfique, qui nous aidera à comprendre la suite de cette histoire.

Et si vous souhaitez lire "Le garçon qui avait avalé son lecteur MP3" chez le même éditeur, il faudra patienter encore un peu, on ne peut pas l'acheter en vente directe, celui-là. A moins d'insister beaucoup auprès des services commerciaux d'Averbode, ils se laisseront peut-être convaincre...

 

17/10/2008

Trois lézards pour six chez Averbode

récitsexpress.jpgJe viens d'apprendre, avec beaucoup de plaisir, que c'est Patrick Chenot qui illustrera "Trois lézards pour six", le mini-roman en forme de blog que j'ai écrit pour la collection Récits-Express publiée par Averbode. Le bouquin sortira en janvier et on ne le trouvera pas dans les bonnes librairies, désolé, c'est réservé aux abonnés.

Je vous en dis quand même un peu plus, vu que vous ne pourrez sans doute pas le lire avant longtemps : l'histoire raconte comment une bande d'adolescents (ils sont six, comme dans le titre) se font descendre les uns après les autres par trois extraterrestres (ce sont les lézards du titre) qu'ils ont eu le malheur de surprendre à la sortie de leur soucoupe volante, une nuit dans les bois.

Coïncidence amusante, le Tiers-Livre publie justement un article qui s'étonne que ni Blanchot ni Bataille ne se soient intéressés à la littérature ufoiste. Ben, tiens, bizarre, ça ne m'étonne pas vraiment, je ne sais pas pouquoi... Peut-être parce que ce qui les intéresse c'est la part de mystère qu'il y a dans l'homme pas les théories paranoïaques qui imaginent que l'homme est coincé dans un bocal à cornichons où le seul mystère est la date du débarquement de Raël ou de la prochaine vague d'observations en chaîne de la SOBEPS...

En attendant de trouver la réponse à ce mystère de la critique littéraire, on peut toujours s'amuser avec des cornichonneries littéraires. Ça ne mange pas de pain, ni de cornichons, sans doute, mais peut-être du Bromure d'hyposodium, ça en jette toujours dans les récits d'anticipation, les trucs scientifiques qu'on ne comprend pas.

29/11/2007

Mission Eurovision sort chez Averbode

99cca27a59b5d9c66cff96acf84eb94b.jpgEcrire sur commande, j'adore. Alors quand Michel Charlier des éditions Averbode m'a dit qu'il avait envie que quelqu'un écrive un roman dans la collection "Récits Express" qui serait composé uniquement de dialogues, sans aucune description, sans décor, sans rien, j'ai de suite dit que j'étais le kamikaze qui allait écrire ça. J'avais le souvenir des "Dialogues anonymes" de Carino Bucciarelli, où on ne savait pas qui parlait ni à qui les paroles s'adressaient, j'avais le souvenir de pas mal de lectures de pièces de théâtre, où on n'a pas souvent autre chose à se mettre sous la dent que les répliques, puis j'avais surtout envie de concrétiser le vieux projet d'écrire sur le concours Eurovision de la chanson.

Il y a quelques temps, on avait envisagé avec Jean-Pierre Hautier (de la Première - RTBF) d'écrire un livre sérieux et à quatre mains sur le sujet, mais le projet est un peu tombé à l'eau depuis. Comme j'avais pleine liberté de ton et de sujet, j'ai foncé et ça donne "Mission Eurovision" qui sort en ce mois de décembre.

Et comme les éditions Averbode font bien les choses, ils ont demandé à Yuio (aussi connu sous le nom d'Etienne Simon, il a un très joli blog) d'illustrer le bouquin, ce qui me semble convenir à merveille à ce récit d'espionnage contre-terroriste télévisé. Voilà; le livre est tout frais. Reste juste à découvrir ce qu'en pensent les lecteurs. Dans les commentaires de cette note, par exemple?