Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/10/2010

Appel aux blogueurs et commentateurs

Les livres déboulent par milliers, tout le monde le rappelle et presque tout le monde s'en plaint.

Si vous voulez faire une bonne action pour les livres que vous aimez, faites savoir ce que vous avez pensé des textes après lecture.

Ecrivain.jpgPar exemple, si vous avez déjà lu Écrivain cherche place concierge, le roman que republient les éditions Pocket aujourd'hui, déposez donc un commentaire sur

Mieux encore, parlez-en sur votre blog : les lectures contagieuses sont les plus virulentes. La lecture est peut-être le seul virus que l'on peut répandre sans honte.

C'est quand on les commente que les livres vivent.

C'est quand on les prête, les recommande, les abandonne et les retrouve que les livres revivent.

Merci pour eux !

20/09/2009

L'Homme qui valait... dans L'Est Républicain

Beaucoup de radio et de télé ces derniers jours où l'on parle de "L'homme qui valait 35 milliards" : commes les liens sont périssables rapidement, je préfère ne pas les afficher ici (vous pouvez toujours les trouver sur mon profil Facebook, bienvenue à toutes et tous). Voici par contre un bel article signé Michel Vagner et publié dans l'Est républicain à l'occasion du salon "Le livre sur la Place" à Nancy.

Bonne lecture !

Est-Républicain Michel Vagner 16 09 09.jpg

08/09/2009

Article dans l'Indépendant

Voici l'article paru dans l'Indépendant la semaine dernière (comme leurs archives sont périssables, je double le contenu ici, cela me sert d'archive en ligne).

Enlèvement

Ancion, l'auteur belge, fait kidnapper un milliardaire !

© L'independant

© Photo Ch. Barreau

Nicolas Ancion, écrivain belge installé à Caux-et-Sauzens, vient de publier un nouveau roman. "L'Homme qui valait 35 milliards" raconte l'enlèvement d'un certain Lakshmi Mittal, roi de l'acier...
C'est une maison aux volets bleus, remplie de jouets, sur la paisible place de la Poste, dans le non moins paisible village de Caux-et-Sauzens. D'une sympathie toujours débordante et l'humeur toujours joviale, Nicolas Ancion, l'auteur belge, reçoit son convive. Ne vous fiez pas aux apparences : cet homme nourrit des plans machiavéliques... Son dernier roman, L'Homme qui valait 35 milliards, raconte l'enlèvement du roi mondial de l'acier, le milliardaire indien Lakshmi Mittal, par un artiste contemporain, un travailleur précaire et un chômeur qui se font passer pour des journalistes.

Le dernier d'entre eux a d'ailleurs perdu son emploi à la suite de la fermeture d'un haut-fourneau de Liège, propriété de l'homme d'affaires."C 'est un roman engagé mais sur le ton de l'humour et du loufoque", prévient l'auteur.
Le néo-libéralisme
et ses aberrations

Nicolas Ancion entend ainsi d énoncer, dans son style, le néo-libéralisme et ses aberrations. "Le seul critère de l'évolution, c'est l'argent. Et on voit que c'est un système qui part en c...", commente le néo-Cauxois.
Ce roman a été pensé par l'auteur en 2007 alors que la crise que nous connaissons n'avait pas pointé son nez.
A cette époque-là, Lakshmi Mittal était la quatrième fortune du monde avec 45 milliards d'euros. D'ailleurs, le premier titre de l'ouvrage était intitulé L'homme qui valait 45 milliards.
Cette crise n'épargnant pas les riches, l'auteur a dû revoir l'intitulé avec le nou veau montant de la fortune du roi de l'acier en 2008... Laquelle, paraît-il, s'est à nouveau réduite cette année à 11 milliards d'euros... Mais cette fois-ci, le titre n'a pas été revu.
La sortie de ce roman a fait la "une" des journaux radio à Liège, ville natale de l'auteur.
Il est vrai que cette agglomération wallone subit les conséquences de la crise : 9 000 emplois ont été perdus dans la sidérurgie "alors que le chômage était déjà élevé", précise Nicolas Ancion. Actuellement, le haut-fourneau, propriété de Lakshmi Mittal, est arrêté...
Malheureusement, il s'agit bien d'une réalité et non de l'imagination débordante d'un romancier belge.
L. C.
"L'Homme qui valait 35 milliards", aux éditions Luc Pire Grand Miroir. Dans toutes les librairies depuis le 27 août.
La bande-annonce de la sortie du roman est en ligne sur Youtube.


38 ans et 6 romans

Originaire de Liège, en Belgique, Nicolas Ancion, 38 ans, est installé depuis deux ans avec sa famille à Caux-et-Sauzens. Il est l'auteur de six romans pour adultes, de nombreux recueils de nouvelles (dont "Nous sommes tous des playmobiles") et de plusieurs ouvrages pour la jeunesse.

Le romancier est également critique de bandes dessinées.

18/09/2008

Bain à Bulles a un an ! Joyeux anniversaire !

blobainabulles.jpgEt voilà, le temps passe : les enfants grandissent, les albums de BD qu'on lisait sans y faire attention quand on était gamin se revendent à prix d'or ou sont réédités (tiens, chez Dupuis, ils sortent l'intégrale de Johan et Pirlouit et un coffret avec les albums des Schtroumpfs dans la collection Carrousel, le petit format horizontal qu'on trouvait dans toutes les bibliothèques de famille quand j'étais petit, à côté des Martine et des Bob et Bobette. Jusque là, c'est normal, mais on ressort aussi la série Gully de Dodier et Makyo que j'adorais quand j'étais abonné à Spirou, au moment de la "nouvelle formule" en 1983, c'était publié en même temps que les premiers épisodes de XIII et les aventure du Privé d'Hollywood par Berthet, vous imaginez à quelle vitesse je descendais l'escalier pour récupérer mon hebdo favori dans le courrier), puis mon blog consacré à la BD, Bain à Bulles,ouvert une semaine après la création du site Bibliobs par l'équipe du Nouvel Obs et les gourous de rue89, vient de célébrer son premier anniversaire.

Une bougie !

Une bougie !

Désolé, mon alarme incendie s'oppose formellement aux gâteaux et aux chansons d'anniversaire qui finissent toujours en anglais.

N'empêche, Bain à Bulles a bien vécu, déjà, j'ai tenu le rythme d'un billet par semaine ou presque (pas toujours facile avec les voyages et les vacances), je préférerais me dire que j'écris un billet par jour mais pour pondre un texte il faut d'abord avoir lu au moins un album BD qu'on a envie de défendre et ça demande du temps, surtout qu'on en lit plein qui ne méritent pas qu'on leur consacre du temps ou de l'espace, ils se vendent sans cela, d'ailleurs, dans les rayons bd des grandes surfaces, ou ne se vendent pas du tout, peu importe, je pense n'avoir parlé que de trucs qui me parlaient, me touchaient, m'emballaient. Et ça, c'est un joli pari de gagné.

J'adore la bande dessinée, j'adore surtout quand les auteurs parviennent à inventer de nouvelles manière de raconter des histoires en mêlant les images au mot. Pas juste pour que ce soit nouveau, plutôt pour ne pas répéter ce qui a déjà été dit, montré et lu, surtout.

Plonger au fond des bulles pour trouver du nouveau, voilà un beau slogan.

Rendez-vous dans un an pour 50 coups de foudre de plus!

21:26 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bibliobs, bd, nicolas ancion, nouvel obs, critique, littérature, makyo | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer