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24/11/2009

Finaliste du Prix Rossel des jeunes, TF1 et visite à Tournai

IMG_6733b.jpgBeaucoup de déplacements, ces derniers temps, pour la promotion de mon roman et, du coup, cela va de soi, peu de blabla sur ce blog. C'est la loi des vases communiquants : quand on trimballe le vase d'un coin à l'autre du pays, il ne communique plus. Du moins plus sur Internet. Parce qu'en chair et en os, si ça bavarde encore beaucoup.

Je serai d'ailleurs à Tournai ce mercredi 25 novembre (pour rencontrer des classes, tout d'abord, youpie !), et je signerai mon roman "L'homme qui valait 35 milliards" à la librairie Decallonne de 16 à 18h. Si vous passez dans le coin, arrêtez-vous un instant pour papoter.

Et si vous n'habitez pas dans le coin, restez donc éveillés le 30 novembre jusqu'à 2h du mat ! Je suis invité sur TF1 par Michel Field et Hubert Artus dans l'émission "Au Field de la nuit", où je réponds aux excellentes questions des lycéens de Lille.

Et, à propos de Lycéens, je suis tout content d'apprendre qu'après la sélection pour le Prix Indications du Jeune critique mon roman est finaliste du Prix Rossel des Jeunes. Je ne dirai rien pour ne pas influencer le (jeune) jury mais je suis ravi, déjà, que mon roman soit décortiqué par des lecteurs passionnés et impitoyables. Résultat final le 2 décembre. On y sera vite.

Et pour illustrer tout ça, j'ai mis une photo du Mensuel, en tournée dans les bons théâtres belges toute cette année. La photo est extraite de mon vaudeville-feuilleton (je pense que le terme vient de s'inventer pour l'occasion) "Laeken-sur-Mer" avec Renaud Riga dans le rôle du Prince Philippe et Sandrine Bergot dans celui de la princesse Mathilde. Si vous êtes gentils, j'ajoute une photo de la reine Fabiola dans sa chaise croulante.

Bonnes lectures à vous !

30/09/2009

Classement Wikio d'octobre : résultats

Apple-iMac-clavier-bluetooth.pngCela fait longtemps que je n'ai plus glosé un peu au sujet du classement Wikio, cet outil qui est à la blogosphère ce que le classement des ventes de LivresHebdo est au petit monde littéraire, un truc dont tout le monde dit se foutre mais que chacun regarde régulièrement (mais tout de même pas aussi souvent que les classements de vente de ses propres titres sur Amazon).

Comme je viens de rendre visite au blog de Ferocias et qu'il déplore que les blogueurs ne traitent plus du sujet, je me mets tout de site au travail pour signaler que, par ces temps de rentrée littéraire, il est bien normal qu'on ne perde pas son temps à dire du mal des modes de calcul du classement. On a d'autres choses à faire :

- si on est blogueur lecteur, on a 659 romans à lire (ce qui est pénible pour un être humain, on préfère se mettre en bande pour y parvenir et on contribue donc à Chroniques de la rentrée littéraire, à Evene ou à Critiques Libres);

- si on est auteur et qu'on a publié récemment, on a des dizaines de journalistes à convaincre, des interviews à préparer ou des confrères à tuer pour avoir droit à un peu d'espace médiatique ailleurs que sur son propre blog;

- si on est auteur et qu'on n'a rien publié ces derniers mois, on se remet au travail au plus vite, la rentrée et la saison des prix, c'est déprimant.

A la limite, on va voir ce qui se dit sur ActuaLitté ou Bibliobs pour se tenir au courant.

En aucun cas, non, vraiment, en aucun cas, on ne se tracasse pour le hit parade mensuel de Wikio.

Pas avant que le Goncourt ne soit attribué, tout de même. Chaque chose en son temps.

 

29/09/2009

5000 visiteurs

5000.jpgAu moment où vous lirez ceci, ce blog aura dépassé les 5000 visites ce mois-ci. Je n'ai aucune idée de ce que ça représente à l'échelle des blogs en général, mais je peux vous assurer que pour Post-It littéraire, c'est une grande première.

Ça doit s'expliquer par des tas de phénomènes concomitants :

- la rentrée littéraire et la sortie de mon roman "L'homme qui valait 35 milliards" avec sa bande-annonce ;

- la polémique autour de la couverture proposée pour la réédition de "Quatrième étage" en poche ;

- les remous autour du plagiat de la chronique de Boookomaton ;

- les renvois multiples de la part de Ferocias depuis son blog les Peuples du soleil (toujours plus populaire chez Wikio) ;

- les allers-retours entre les notes publiées ici et Facebook, où il y a plein de gens sympas et réactifs.

En tout cas, merci à toutes et tous pour vos nombreuses lectures !

 

25/09/2009

Mon roman traduit en anglais... en six heures chrono !

hommequi.jpgLors des interviews à l'occasion de la sortie de mon roman, on m'a souvent posé la même question : "Avez-vous envoyé votre roman à Lakshmi Mittal ?" et j'ai chaque fois répondu que non, que je n'ai pas son adresse et que je ne le connais pas, que je ne vois pas pourquoi j'aurais dû lui envoyer mon livre en service presse (après tout, il n'est pas journaliste, que je sache). Quand on m'a demandé s'il l'avait lu et s'il avait réagi, j'ai répondu que je n'en savais rien et qu'il n'avait, jusqu'alors, pas pris contact avec moi.

Depuis hier matin, j'en sais un peu plus.

C'est la RTBF qui l'annonce ce jeudi matin aux infos régionales : la direction d'Arcelor a fait livrer un exemplaire de « L'homme qui valait 35 milliards » à Londres lors de sa sortie en Belgique et a fait traduire le livre en six heures en anglais pour le Président (qui n'est autre que Lakshmi Mittal, personnage du livre).

Cette info me laisse rêveur : 6 heures pour traduire 288 pages, cela tient de l'exploit ou de l'exploitation ! Un traducteur littéraire professionnel aurait obtenu 3 mois de délai pour réaliser ce travail. Qui donc a les capacités de traduire aussi vite ? Steve Austin, l'homme qui valait 3 milliards lui-même, lancé à fond de balle ? Pas même. La réalité est qu'en six heures on doit pouvoir concocter un résumé rapide et repérer les passages les plus intéressants pour la première fortune d'Angleterre. Ceux qui parlent du personnage qui porte son nom, en d'autres termes.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Lire c'est bien. C'est très bien, même. Utiliser cette lecture comme excuse pour ne pas relancer l'activité sidérurgique, c'est autre chose.

Voici l'extrait du journal parlé de 7 h30, du jeudi 24/9/2009, où Michel Grétry raconte la réunion de comité de suivi entre direction et syndicats la veille chez ArcelorMittal à Liège. Il explique qu'on a surtout parlé de l'image de marque du site liégeois d'ArcelorMittal dans les médias pour le moment :

"C'est que les Liégeois n'ont pas bonne presse en haut-lieu. L'état major de la multinationale est chatouilleux comme dans toute société cotée en bourse, il cherche à contrôler l'information, soit. Mais cette volonté prend des formes insoupçonnées (...), lors de la parution du livre "L'homme qui valait 35 milliards", un roman surréaliste qui imagine l'enlèvement du grand patron en personne d'ArcelorMittal, l'ouvrage aurait été commandé et apporté le jour-même au siège londonien de la firme et le texte traduit en quelques heures pour que le Président puisse en prendre connaissance. Vraie ou fausse, l'anecdote a servi d'argument pour justifier les hésitations d'ArcelorMittal à s'investir en Région wallonne. Un bouquin peut-il vraiment bloquer une coulée d'acier? C'est difficile à croire. Il serait temps sans doute de revenir à des logiques plus industrielles."

Après vérification auprès de plusieurs journalistes, les sources concordent : la direction d'ArcelorMittal fait croire que la sortie de mon roman (le 27 août 2009, faut-il le rappeler) est un des éléments qui empêchent la réouverture des sites sidérurgiques liégeois aujourd'hui ! Je suis sidéré.

Suis-je le seul à me souvenir que la fermeture de la phase à chaud dans le bassin liégeois a été annoncée officiellement dès 2003 par ArcelorMittal et que la société n'a jamais vraiment changé de cap depuis. La réouverture ? Mais c'est de la poudre aux yeux pour éviter une réaction des ouvriers dans la rue. On les licencie par tranche d'un millier pour éviter l'affrontement et diviser les troupes. La stratégie est vieille comme le licenciement mais elle marche toujours.

Mon roman serait responsable de la fermeture des haut-fourneaux décidée 6 ans avant sa sortie ?

Comme quoi, on peut faire partie du management d'un groupe sidérurgique et confondre des notions aussi simples que la cause et la conséquence !

Non, mon roman n'a pas provoqué la fermeture mais l'annonce de la fermeture a par contre mis en branle l'envie de l'écrire...

 

21/09/2009

Petit-déjeuner à la librairie où les playmobiles font leurs courses !

Si vous avez regardé la bande-annonce ci-dessous, vous connaissez la librairie Mots et Cie, à Carcassonne, où les playmobiles vont acheter "L'homme qui valait 35 milliards".

Ce samedi 26 septembre, Mehdi, le libraire dynamique et de bon conseil, vous invite pour un petit-déjeuner littéraire à partir de 10h30. Au menu : cake de roman, café au canular et tarte à la crème bien fouettée pour lancer sur les grands patrons de passage. Ça se passe donc à Carcassonne, chez Mots et Cie, rue Armagnac.

Bienvenue à toutes et tous !

Prochaines étapes de la tournée :

  • Toulouse, à la librairie l'Autre Rive, le vendredi 16 octobre en fin de journée
  • Bruxelles, à la librairie Filigranes, le jeudi 29 octobre, de 18 à 20h
  • Liège, à la librairie L'échapée belle, le vendredi 30 octobre, de 17h30à 19h30

20/09/2009

L'Homme qui valait... dans L'Est Républicain

Beaucoup de radio et de télé ces derniers jours où l'on parle de "L'homme qui valait 35 milliards" : commes les liens sont périssables rapidement, je préfère ne pas les afficher ici (vous pouvez toujours les trouver sur mon profil Facebook, bienvenue à toutes et tous). Voici par contre un bel article signé Michel Vagner et publié dans l'Est républicain à l'occasion du salon "Le livre sur la Place" à Nancy.

Bonne lecture !

Est-Républicain Michel Vagner 16 09 09.jpg

15/09/2009

Encore une blogueuse pillée par la presse

L'homme qui valait 35 milliards.jpgLa rentrée littéraire, c'est l'avalanche de bouquins, je veux bien.

La presse écrite, c'est la pression permanente pour boucler les articles à temps, je le comprends.

"L'homme qui valait 35 milliards" est un gros roman, il est un peu plus difficile à cerner que la publication annuelle d'Amélie Nothomb, je l'admets.

Mais de là à ce que la presse écrite se permette de pomper, par simple copier-coller, des phrases entières de la critique publiée par une blogueuse, tout de même, il y a un fossé que seule une absence totale de déontologie permet de franchir.

C'est ce qui est arrivé ce matin.

D'un côté, il y a la critique publiée par Carine Pires sur le blog Boookomaton, le 29 juillet, bien avant la sortie du roman. Ce fut même la première critique publiée au sujet de ce livre. De l'autre, il y a un article publié ce matin dans le quotidien belge "La Libre Belgique", sous le titre "Un enlèvement presque parfait" et signé Julie Gillet. Et entre les deux, il y a plus que des similitudes.

Je ne vais pas les relever ici par le menu, je vous renvoie à l'article publié sur Bookomaton, qui souligne et relève les similitudes qui ne sont tout sauf des coïncidences.

Je vous tiens au courant des suites, si cela vous amuse.

Le minimum, en tout cas, me semblerait de réclamer un droit de réponse pour que le journal cite la véritable source de l'article.

Ce qui m'étonne, ceci dit, c'est qu'en dehors de ces phrases entièrement pompées ailleurs, il en y a aussi quelques autres rédigées par la journaliste elle-même, notamment au sujet de la place de Liège dans le roman. La journaliste a donc lu le roman mais ça ne l'a pas empêchée de piller un article disponible en ligne. Pas une simple question de paresse ou de temps qui presse, donc, mais un vrai problème de déontologie sur laquelle on s'assied. Et c'est de plus en plus fréquent...

Et vous ? Ça vous choque ou pas, ces méthodes de plagiat (en tout cas de citation sans guillemets et citer la source) ?

 

08/09/2009

Making of de la bande-annonce de L'homme qui

Le site actualitté m'a offert une carte blanche pour expliquer comment avait été réalisé la bande-annonce de "L'homme qui valait 35 milliards", ils viennent de la publier ce midi. Si vous voulez la lire, voici l'intro, rédigée par la rédaction, pour la suite, il suffit de suivre le lien.

La vidéo, outil de promotion essentiel pour un écrivain
Et si...


On parle beaucoup de bandes-annonces ces derniers temps, dans la promotion des livres : le marketing viral permis par les réseaux de partage de vidéos comme YouTube ou DailyMotion permette de contourner la difficulté de la publicité à la télévision pour les livres et d'assurer son propre marketing.

Avec plus ou moins de réussite, de talent, de brio ou même de moyens. Mais justement, ce ne sont pas ces derniers qui déterminent la qualité ni l'efficacité de ces clips. Ce serait plutôt l'envie que les auteurs peuvent avoir de développer l'outil vidéo et de parvenir à en profiter pour valoriser leurs ouvrages.

L'un d'eux, Nicolas Ancion, nous a dernièrement contactés pour nous faire part de son expérience dans le domaine, mais également des enjeux que cette nouvelle publicité peut offrir aux écrivains.