Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/09/2009

Grande braderie de livres au juste prix

Pour sensibiliser les lecteurs aux méfaits du pilon, cette pratique en usage dans l'édition, qui consiste à détruire par milliers les livres invendus pour libérer de la place dans le stock, un collectif belge d'éditeurs et d'auteurs lance en cette rentrée littéraire une opération à grand spectacle.

Ils annoncent ainsi que plus de dix mille livres vont être libérés dans le grand public au juste prix (le lecteur donne ce qu'il veut en échange du livre).

Je fais partie des auteurs qui soutiennent cette iniative depuis le début. N'hésitez pas à relayer l'info !

Voici le communiqué complet :

 

maelstrÖm reEvolution® s’allie aux éditions L’Arbre à Paroles et La 5e Couche et avec L’Association des Cercles Etudiants de l’ULB pour revendiquer par avance toutes les actions commandos anti-bibliocide perpétrées lors de la première

SEMAINE DES LIVRES À PRIX LIBRE

DU 22 AU 26 SEPTEMBRE 2009


dans le cadre de l’opération

MORT AU PILON !

LES LIVRES INVENDUS LIBÉRONS !


NON À LA SURPRODUCTION PLANIFIÉE

Pilonner les livres est aussi barbare que les brûler, mais provoque moins d’indignation. Les feuilles vierges obtenues grâce aux pages imprimées recyclées fourmillent de fantômes. Des mots ressurgissent, des terminaisons de verbes achèvent de se décomposer, des bribes de ponctuation affleurent. L’autodafé lave quand même plus propre. (Roland Topor) Éditeurs, revuistes, auteurs et autres humanistes, rejoignez cette action !


DÉCLARATION

Le pilon est une étape désormais “ normale ” d’un cycle de sur-impression/production/commercialisation. Nous, artisans du livre, commerçants sentimentaux qui refusons haut et fort cette pratique devenue systématique, avons décidé de LIBERER nos livres surnuméraires, rituellement, une fois l’an !


APPEL

Lecteurs et Amateurs du livre en tout genre, bibliothèques d’hôpitaux, de prisons, d’écoles, d’associations et d’ONG, venez participer à cette opération et prenez tous les livres que vous désirez ces jours-là : leur prix est libre et sera donc celui que vous leur donnerez !


AVERTISSEMENT

Des dizaines de commandos anarcopsychotiques spécialisés dans la lutte contre la barbarie sillonneront la ville à pied, en camionnette et en charrette ! et libéreront des centaines de livres dans la rue, les cafés, le métro, les couloirs de journaux, radios, télés, institutions et ministères… à la Prison de Saint-Gilles, à la Grand-Place, aux Halles Saint-Géry, au Palais de Justice, à la Gare Centrale, dans des grandes surfaces, etc. et même dans des librairies !


ARGUMENT

* Chaque rentrée littéraire est assortie de son lot de surproduction.

* la surproduction de livres : c’est imprimer délibérément plus de livres que le marché ne peut en absorber, afin d’occuper visuellement le marché-territoire en empilant le plus de livres possible.

* le rythme de roulement des livres en librairie classique est de plus en plus court : de quelques mois, il y a encore quelques années, nous sommes passés à quelques semaines aujourd’hui (parfois 2 ou 3) : on ne laisse plus le temps aux livres de se faire connaître. Les librairies s’industrialisent et le fonds disparaît : les nouveautés ne lui laissent plus de place.

* la pratique des « offices »1 et des « marges arrière » génère un flux tendu, « de la production à la consommation ». Aujourd’hui, on compte généralement entre 40 à 60% de « retours » de livres invendus.

* ces invendus peuvent être revendus à des grossistes, à des prix imbattables. de plus en plus, ces invendus sont directement renvoyés du revendeur (libraire) au distributeur, puis envoyés au pilon.

* le pilonnage des livres, c’est la destruction massive des livres dans des usines spécialement prévues à cet effet (qui les achètent jusqu’à 100 € la tonne). 1500 tonnes de papier peuvent être ainsi broyées toutes les 5 minutes. On transforme les livres en de très belles « balles » colorées (des cubes de 1 m3 en moyenne qui peuvent peser parfois jusqu’à 250 kg !) Voir la vidéo : http://ma-tvideo.france3.fr/video/iLyROoafJFNn.html

* ces « balles » sont revendues (à 30 € l’unité) et envoyées par cargos dans des pays comme la Chine ou l’Inde afin d’être traitées chimiquement (on sépare les encres du papier à très bon prix en Asie) pour en faire du PQ, des cartons d’emballage, des abats-jour… ou du nouveau papier à imprimer… qui sera revendu à l’industrie des pays occidentaux… Certains prétendent qu’il s’agit de développement durable (sic.) cf. l’excellent article paru dans le Livre Hebdo du 30.10.08 Le cauchemar du pilon (http://bibliobs.nouvelobs.com/20081030/8211/le-cauchemar-...)

* ce cercle de surproduction, pour certains types de livres seulement pour le moment (non ou peu illustrés), connaît pourtant des alternatives de plus en plus probantes : l’impression à la demande, numérique, se développe de plus en plus dans les imprimeries.


CONCRÈTEMENT

COMMENT ?

En organisant cette semaine des Livres au Prix Libre. Chaque livre libéré par son éditeur sera échangé contre monnaie, la valeur de l’échange étant laissée à l’appréciation de l’acquéreur. Des lectures d’auteurs de livres “libérés” ainsi que d’auteurs faisant paraître des nouveautés se produiront sur place ! Le public sera invité à participer activement !


OÙ ?

* À BRUXELLES : ULB–Solbosch (Bâtiment F - Hall des restaurants) – Avenue Paul Héger – 1060 Bruxelles (de 11h à 17h du 22 au 25 inclus) – Permanence à LA GOUTTE – 135 avenue de l’Hippodrome, 1050 Ixelles – du mardi au samedi, de 14h à minuit; le dimanche après 17h. Lectures, concerts, performances, le 24 septembre à 18h. Et dans plusieurs lieux de la ville par des actions commandos : à la Prison de Saint-Gilles, à la Grand-Place, aux Halles Saint-Géry, au Palais de Justice, à la Gare Centrale, dans des librairies, dans des grandes surfaces, etc. Une camionnette ainsi qu’une charrette rebaptisées Book Squad / Véhicules de la Libération des Livres sillonneront la ville à partir des deux campements de base : l’ULB et les Halles Saint- Géry.

* À AMAY : à la Maison de la Poésie d’Amay, qui met à disposition un magnifique entrepôt, un théâtre à rebâtir (le Théâtre des Utopies), 8 place des Cloîtres, à 4540 Amay. Lectures le samedi 26 septembre, à partir de 19h30.


QUAND ?

Pendant toute la semaine du 22 au 26 septembre 2009 inclus.


PLUS D’INFOS

sur les sites des éditeurs : http://www.maelstromreevolution.orghttp://www.maisondelapoesie.comhttp://www.5c.be sur Facebook, cherchez l’événement « Mort au Pilon ! »

INFOS ET CONTACTS


Daoud El Gian +32.(0)498.60.72.53 – Xavier Löwenthal +32.(0)479.35.10.83 – David Giannoni +32.(0)497.33.73.25


ARTICLES DIVERS

http://bibliobs.nouvelobs.com/20081030/8211/le-cauchemar-...

http://www.lepoint.fr/actualites-litterature/2008-07-24/l...


VIDEO

http://ma-tvideo.france3.fr/video/iLyROoafJFNn.html

Faites circuler l’information !


ONT ADHÉRÉ À CETTE OPÉRATION DÈS LA 1ERE HEURE

Ed. Adage (Québec) . éd. L’Arbre à Paroles (Be) . éd. L’Association (Fr) . éd. La 5e Couche (Be) . maelstrÖm reEvolution (Be) . Maison de la Poésie d’Amay (Be).Nicolas Ancion (auteur, Be) . Samuel Arcan (traducteur, Arg) . Ben Arès (poète, Be-Madagascar) . Antonio Bertoli (poète, It) . dAnte bertOni (thérapoète, It-Be) . Martin Bakero (poète, Chili-Fr) . Antoine Boute (poète, Be) . Francis Chenot (poète, Be) . Marianne Costa (poète, traductrice, Fr) . Chantal Deltenre (auteur, Fr-Be) . Laurent d’Ursel (Lœuvrette Factory, Be) . Otto Ganz (auteur, Be) . Théophile de Giraud (auteur trublion, Be) . Serge Delaive (auteur, Be) . Daoud El Gian (anarcopsychotique, Mar) . Sandrine Emmery (artiste, Be) . Dafné Erysnomia (secrétaire, Be) . Michèle M. Gharios (auteur, Liban) . David Giannoni (poète, Be-It) . Kenan Görgün (auteur, Be) . Pierre Guéry (auteur, Fr) . Sylvie Leroy (artiste, Be) . Julie Lévy (future infirmière, Be) . Frédérique Longrée (artiste, Be) . Rio di Maria (poète, Be) . Xavier Löwenthal (artiste, Be) . Tom Nisse (auteur, Be) . Mathieu Pierloot (auteur, Be) . Milady Renoir (auteur, Be) . Elizabeth Robert (auteure, traductrice, Ca) . Gaetan Saint-Remy (cinéaste, Be) Keyvan Sayar (auteur, Fr-Iran) . Damien Spleeters (auteur, Be) . Laar U Khan (informaticien, In) . Antoine Wauters (poète, Be) . Marco Zagaglia (cinéaste, Be) Anonymes, lecteurs, auteurs, éditeurs, libraires, journalistes, écologistes et autres idéalistes pragmatiques y adhèrent jour après jour…

NON A L’OVERDOSE PLANIFIÉE !

MORT AU PILON ! MORT AUX BIBLIOCIDES !

VIVE LES LIVRES LIBRES !

28/03/2009

Sans faire de bruit / Sans faire de vagues

Les Éditions de la Gare ont le plaisir de vous faire part de la sortie de presse de

« Sans faire de bruit / Sans faire de vagues »

deux pièces courtes de Nicolas Ancion

58 pages - 5 EUR

ISBN : 978-2-918254-01-0

 

Sans faire de bruit.jpg

Et, pour ceux qui suivent les trépidantes aventures du poète, sachez que la deuxième pièce contenue dans ce petit livre inclut la lecture presque intégrale du texte « Le poète fait sur scène », troisième tome des aventures du poète.

Vous n'y comprenez rien ? C'est normal et ce n'est pas grave. Rien n'est grave, en poésie et en théâtre, d'ailleurs. On n'est pas là pour se compliquer les choses, juste pour les tordre un peu.

Allez, amusez-vous bien !

PS : pour mémoire et pour les collectionneurs d'infos minuscules, ces deux textes ont été écrits lors d'une résidence à Gare au Théâtre à Vitry-sur-Seine. Et "Sans faire de bruit" a été créé dans une mise en scène de Mustapha Aoura, avec Amaya Lainez et Jorge Tomé dans les deux rôles principaux qui sont aussi les seuls.

 

03/03/2009

Lysiane D'Haeyère rejoint Gaston Compère et bien d'autres

th-200x200-eperonniers_malinconi.jpg.jpgC'est la première éditrice que j'ai rencontrée, alors que j'étudiais encore à l'Université : elle était venue accompagner Rossano Rosi pour la présentation de son roman à la Librairie Pax. Petite, cheveux blancs, grandes lunettes, un caractère marqué et une propension à prendre la parole quand on ne la lui donnait pas. C'était un personnage.

Quelques années plus tard, c'est elle qui m'a fait entre dans le monde de l'édition : j'ai été, pendant près de deux ans, le seul employé des Eperonniers, sa maison d'édition, où elle poursuivait son travail de repérage d'auteurs de littérature contemporaine, toujours à Bruxelles alors que tout le monde, les médias et l'ensemble du monde littéraire en général, ne jurait que par Paris.

Dans son catalogue il y avait bien sûr les restes des Editions Jacques Antoine : André Baillon, Odilon-Jean Périer, Franz Hellens, Michel de Ghelderode... mais il y avait aussi quelques noms aujourd'hui devenus prestigieux : Henri Bauchau, François Emmanuel, Claude Javeau, Gaston Compère, Nicole Malinconi, Karel Logist... ou Liliane Wouters.

Elle adorait par-dessus tout avoir le bonheur de rencontrer un vrai auteur. Je me souviens l'avoir entendue défendre et promouvoir les textes de Denis-Louis Colaux, ceux d'Otto Ganz, la poésie de Serge Delaive et de Carl Norac, le roman de l'angolais Pepetela.

Elle était paradoxale à plus d'un titre, elle adorait les auteurs et ne les traitait pas toujours bien. On l'accusait à tort de toucher des subsides monumentaux alors que tout son patrimoine personnel a été investi à perte, année après année, dans des caisses de livres, dont beaucoup aujourd'hui prennent la poussière.

Nous nous sommes souvent pris la tête, dans notre bureau chauffé au charbon sur le site de Tour et Taxis, notre collaboration a été très houleuse sur la fin mais je sais que c'est elle qui m'a appris l'essentiel : le vrai travail du manuscrit, les fondamentaux du travail d'éditeur sur le long terme, la rage de croire que la qualité est le seul moyen d'exister sur le long terme.

Elle ajoutait à cela, du haut de ses 73 ans, une mémoire sans pareil pour l'histoire de l'édition en Belgique. Elle connaissait tout le monde, jusque dans leurs plus petits défauts. Elle ne se laissait pas avoir par la poudre aux yeux et les effets marketing qui menaçaient peu à peu d'engloutir le métier d'éditeur derrière des torrents de promotion et de publicité tapageuse.

C'était une éditrice.

Je suis fier d'avoir été son dernier employé.

 

23/10/2008

A quoi sert Facebook et comment l'utiliser

douggriess3.jpgHier soir, j'ai accepté mon millième ami sur Facebook. Mille amis ? C'est que ce ne sont pas de vrais amis, me rétorqueront les grincheux. Qu'ils grinchent tant qu'ils veulent, les amis Facebook sont des amis s'ils en ont envie. C'est-à-dire s'ils s'amusent à lire et à répondre aux petits riens dont je pollue ràgulièrement mon profil. S'ils m'envoient des messages intéressants, s'ils sont suffisamment civilisés pour éviter de m'asperger d'invitation débiles. Et, franchement, l'écrasante majorité de mes mille amis est plutôt bien élevée. C'est un plaisir de lesfréquenter.

Je ne sais plus quand je me suis inscrit sur Facebook, au printemps 2008, je pense. Comme tout le monde, j'ai commencé par publier un statut du genre "Nicolas se demande à quoi sert ce machin et explore". Comme tout le monde, j'ai installé un tas d'applications nullissimes : test pour savoir quels sont nos films préférés (oh, que c'est utile, surtout quand le choix propose Titanic, King Kong ou Ghostbuster), test pour savoir à qui on ressemble, d'abord à quel acteur, puis à quel politicien, puis à quelle sorte de papier cul ou quel genre de brouette. J'ai fini par comprendre que ces tests sont mal conçus, bourrés de fautes d'orthographe, qu'ils ne testent rien du tout mais servent de cheval de troie pour que les créateurs dudit test puissent accéder à nos données et à celles de nos amis. J'ai donc supprimé toutes les applications un beau matin, y-compris mon Vampire, mon loup-garou et autres avatars que j'avais pris du temps à élever à coups de combats virtuels. Je me suis retrouvé nu comme un ver et beaucoup plus léger.

Il faut que la chenille crève un peu pour devenir papillon. Facebook avait subi sa première mue, il devenait fréquentable.

Je n'ai gardé que l'essentiel, c'est-à-dire presque rien (1). Le statut qui change tout le temps, le partage de photos, les groupes comme des badges qu'on accrocherait au revers de la veste. Facebook devient alors un outil simple et amusant, beaucoup plus agréable que Messenger, plus complet que Twitter, moins rébarbatif que LinkedIn pour entrer ou rester en contact avec des tas de gens de partout.

Des vieux copains, des anciens collègues, des lecteurs, des bédéastes, des traducteurs, des éditeurs, des auteurs...

Des n'importe qui à l'humour dévastateur.

Des bouffeurs d'heures entières.

Je colle de temps à autre sur mon profil des liens vers les trucs poignants que j'ai vus en ligne, je renvoie vers mes blogs, vers les textes que je publie à l'occasion, je ne préviendrai tous mes contacts avec un message que pour les grands événements : la sortie d'un bouquin (qui sait, peut-être, si j'arrête de perdre mon temps sur Facebook, finirai-je par boucler le manuscrit ?), mon décès (ah non, ce statut-là, il sera difficle à mettre à jour), la distribution gratuite de confiture de figues et cannelle (1000 pots, ça devient colossal, je laisse tomber), la réouverture de mon site (grrr, ils font chier chez iBelgique, ils ne répondent pas aux messages alors qu'ils ont retiré mon site sans me prévenir, les cochons) et ainsi de suite...

Peut-être pour la mise en ligne de cette note ?

Mais je me rends compte que je n'ai pas parlé de l'essentiel : à quoi sert donc Facebook pour un écrivain ? A plein de trucs, que je cite en vrac :

  • A se sentir moins seul tandis qu'il passe ses journées à écrire à l'ordi (c'est faux, on est toujours tout seul mais on s'en rend moins compte) ;
  • A entrer en contact avec des tas de lecteurs potentiels (c'est vrai, en partie, surtout pour tous les amis perdus de vue, qui peut-être auront envie d'acheter un bouquin le jour où ils le croiseront en librairie ; j'y crois moins pour les nouveaux contacts jamais rencontrés en chair et en os) ;
  • A entrer en contact avec des lecteurs enthousiastes (ah, ça, c'est vrai, et ça fait plus que plaisir à lire) ;
  • A tisser des liens avec des gens du métier, journalistes, éditeurs, critiques, auteurs, qu'on n'oserait pas contacter en direct sans Facebook (oui, c'est vrai, mais on ne va pas très loin dans les contacts, ça reste très superficiel, ce n'est qu'une des approches possibles, il en faudra bien d'autres pour arriver à un résultat) ;
  • A communiquer vite et sans chichi quand on a une question à poser à l'un de ses contacts (testé des tas de fois et ça marche toujours, c'est presque aussi efficace que le téléphone) ;
  • A s'amuser et prendre l'air sans quitter son clavier (ça, c'est indubitable) ;
  • A perdre beaucoup de temps en ayant bonne conscience (on se dit que ça crée du réseau, du buzz, et de la sympathie pour les bouquins qu'on publie même si au fond de soi, on sait qu'on y passe beaucoup trop d'heures pour que ce soit rentable) ;
  • A écrire une trop longue note de blog sur le sujet.

Ça doit servir certainement à plein d'autres choses, j'imagine. Mais je peux vous l'assurer, Facebook ne fait pas la vaisselle et ne remplit pas la déclaration d'impôts à votre place. Dommage. Ce sera à prévoir pour la prochaine version ?

 

(1) bon, d'accord, tout est dans le presque, j'ai tout de même conservé longtemps une application qui permettait de jouer à de vieux jeux d'arcade (en réalité, je ne jouait qu'à "Green Beret", c'est le seul qui tient la route sur le long terme), une autre pour défier les copains à des jeux de lettres rapides et une simulation de Donjons et Dragons, version apauvrie du jeu de rôle.