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19/10/2016

Rencontre à Liège ce 26 octobre à 19h, chez Livre aux Trésors

Liège, rencontre en librairie, Livre aux Trésors, Luc Baba, Kenan GörgünC'est avec grand plaisir que je répondrai aux questions de Marc Bailly, ce mercredi 26 octobre à 19h, à la librairie Livre aux Trésors, place Xavier Neujean, à Liège. Mieux encore, je le ferai aux côtés de deux compagnons d'écriture : Luc Baba et Kenan Görgün, qui fréquentent plus Liège que moi ces derniers temps.
Si vous êtes dans le coin, venez nombreux.

On parlera écriture, publication, insurrection, adaptation, traduction et tout le reste. Même zombies et cannibales, à mon avis. Si vous venez, vous saurez pourquoi.

Et n'oubliez pas qu'on sera en octobre : c'est la Foire à Liège, les places de parking sont rares. Venez en vélo, à pied ou en trottinette. Mais venez, en tout cas, ça me fera plaisir !

 

 

28/07/2016

Donner "Quatrième étage" en lecture en classe

Nicolas Ancion, Quatrième étage, roman, enseignant, prix d'ami, réductionDepuis que ce roman a reçu le Prix des Lycéens en 2001, "Quatrième étage" remporte un beau succès auprès des élèves... et des nombreux enseignants qui le donnent en lecture en classe. C'est pour cette raison, d'ailleurs, que Pocket a réédité le livre en poche (avec deux éditions successives, après les quatre éditions en grand format). Depuis début juillet, le livre n'est plus disponible en poche en grande quantité : avec beaucoup de chance, on peut encore en trouver un exemplaire ou deux en stock chez de bons libraires, mais c'est tout ce qu'il reste.

Une nouvelle édition est préparation pour l'année scolaire prochaine 2017-18, mais je ne peux pas encore vous en dire plus...

Du coup, si vous êtes enseignant et que vous souhaitez donner "Quatrième étage" en lecture dans vos classes, il n'y a plus qu'une solution : envoyez-moi un mail (toujours à nicolas.ancion@gmail.com) et je m'arrangerai pour vous faire parvenir en direct des exemplaires à prix d'ami (5,40 EUR au lieu de 6,30 à partir de 15 ex).

Comme vous le voyez sur cette photo, j'en ai conservé quelques caisses pour que le titre reste disponible au cours de l'année scolaire qui va débuter. Mais je ne pourrai pas contenter tout le monde. Les premières commandes seront honorées. Les autres devront... patienter jusqu'à la réédition l'année suivante.

N'hésitez donc pas à me contacter. Au plaisir de vous lire très bientôt et bel été à vous !

 

 

07/07/2016

"Invisibles et remuants" chez Mots et Cie à Carcassonne

Ce samedi 9 juillet à 10h30, je serai à la librairie Mots et Cie à Carcassonne pour parler, notamment, de mon roman "Invisibles et remuants", publié chez MaelstrÖm ReEvolution. Comme je vous ai déjà présenté ce livre sur ce blog, je profite de l'occasion pour citer quelques belles phrases de chroniqueurs (avec lien vers les sources, bien entendu).

"Un grand roman, un excellent thriller, une petite perle écrite par un conteur hors pair."
Vincent Tholomé, Le carnet et les Instants.

"Invisibles et remuants est à ce jour son livre le plus ambitieux. Et il ne manque pas d’humour, un humour de mots et non de situations. On se surprend ainsi à rire au détour d’une formule bien tournée dans un roman qui n’a pourtant rien de drôle."
Michel Paquot sur le site Culture de l'ULG.


"Autour d'un scénario de thriller, Invisibles et remuants imagine les prémisses d'une révolution sanglante, sur fond de menace bactériologique. Un roman radical aux problématiques ultra-contemporaines, dans lequel l'écrivain belge Nicolas Ancion parvient pourtant à instiller une certaine légèreté. "
Cyril Tavan, site Balise de la BPI.

"L’écriture de Nicolas Ancion, tour à tour engagée, haletante, drôle ou poétique, nous entraîne dans un récit en équilibre entre les genres. (...) Invisibles et remuants est un objet hybride qui insuffle de la poésie au thriller et de la militance à la fiction. On n’y résiste pas !"
Mathilde Allet, Karoo.

Bienvenue à toutes et à tous.

Et si vous ne connaissez pas la librairie, sachez qu'elle figurait déjà dans la bande annonce de "L'homme qui valait 35 milliards", c'est là que le playmobil allait acheter sa lecture ;-)

 

 

17/05/2016

Mai, le mois des interviews

Peut-être est-ce parce que mon anniversaire approche ou parce que le printemps et le soleil font leur retour qu'on attendait depuis trop longtemps, en tout cas ce mois de mai est celui des interviews.
Il y en a eu en radio, en télé, par Skype et en face à face. Parfois avec trois classes d'un coup, d'autres dans l'intimité d'un studio télé d'où les caméramans sont désormais exclus.

Si vous avez d'envie de découvrir tout ça, ne vous en privez pas.

Pour commencer, voici le lien vers un dialogue sur Télé-Bruxelles avec David Courier, où l'on papote tour à tour de la violence sociale, de l'optimisme et de la magie de la littérature. De théâtre et de romans, aussi...

Si ça vous tente, ça ne dure que 13 minutes trente.

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Et si vous préférez lire, ce que je comprends parfaitement, j'ai eu le plaisir de répondre à une interview fleuve proposée par Edith Soonckindt (auteure et traductrice, que vous avez certainement déjà lue, peut-être sans le savoir).

Et pour vous donner l'envie de lire la suite, voici déjà les premières questions.

1- Nicolas, tu as une production impressionnante (romans, théâtre, poésie, nouvelles, jeunesse) pour un aussi jeune homme ! Y a-t-il un genre que tu préfères à un autre, ou peut-être sont-ils tous d’égale importance au moment où tu es plongé dedans ?
La réponse est déjà dans la question : si je touche à tous les genres, c’est parce qu’il y a chaque fois, me semble-t-il, moyen de détourner les codes, de les exploiter autrement et, surtout, d’y trouver du plaisir. Je ne peux pas me lancer dans l’écriture d’un projet, quel qu’il soit, si je n’ai pas l’impression que je vais y ressentir cette liberté totale qui me donne envie d’écrire.

2 -Y a-t-il un fil conducteur entre ces différents genres ? L’humour et la dérision, peut-être ?
L’humour en littérature est, pour moi, une forme de politesse. La littérature est une tâche horriblement prétentieuse : on invente des personnages de toute pièces, des histoires, des lieux, des rebondissements et on oblige les lecteurs à y croire, comme si c’était la vérité qu’on écrivait. Sans distance, la situation est tyrannique. Le lecteur subit ce que lui inflige l’auteur. L’humour permet de rappeler à chaque instant, sans s’y attarder pour autant, que tout ça est faux, tout simplement. Imaginaire, inventé, fabriqué, mais pas un mensonge pour autant. Une vérité qui n’a pas besoin de prendre appui sur le réel.

Pour lire la suite, cliquez ici...

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Mais il se peut que vous en vouliez encore plus. Dans ce cas, je ne peux que vous recommander les trente minutes d'entretien avec Myriam Leroy, pour la RTBF, que plusieurs classes ont récemment regardées pour préparer leur accueil en classe. Quand on répond aux questions à la télé et à la radio, on n'imagine pas que les réponses vont être décortiquées par des élèves ensuite... Heureusement ;-)

Pour trente minutes coupées au montage, c'est ici.

Et si vous avez des réactions, les commentaires sont ouverts.

17/02/2016

De retour à la Foire du Livre

Nicolas Ancion, dédicaces, foire du livre, 2016C'est la Foire du Livre, comme chaque année à Bruxelles, sur le site de Tours et Taxi. Bonne nouvelle, cette année, l'entrée est gratuite sur réservation préalable pour tout le monde.

Profitez-en pour venir chercher tous les livres que vous ne trouvez pas le reste de l'année chez votre libraire : ceux des petits éditeurs, ceux qui ne sont pas sortis dans les trois dernières semaines, ceux que vous avez toujours rêvés de lire, ceux que vous avez tant lus que vous mourez d'envie de les offrir, ceux que vous ne connaissez pas encore et que vous allez rencontrer au hasard des allées. Et tous les autres aussi, parce que ça ne fait pas de mal. (Sauf aux arbres, mais ils sont trop paisibles pour s'en plaindre, les braves.)

Et tant que vous y êtes, faites-les signer.

Je serai là pour ça. Pour dire des bêtises, sourire aux lecteurs et écrire des idioties dans les premières pages de mes romans. C'est devenu une spécialité : être presque aussi bavard par écrit en dédicace que je le suis dans la vie de tous les jours.

Bon, vous voilà prévenus.

Et pour ne pas nous rater, je précise les heures et les lieux :

Le vendredi 19 février 2016

- De 18 à 19h, sur le stand Espace Livre et Création (226)
Pour signer Invisibles et remuants publié chez MaelstrÖm.

- De 20 à 22h, sur le stand Interforum (300)
Pour signer Nous sommes tous des playmobiles, L'homme qui valait 35 milliards et Quatrième étage chez Pocket.

Le samedi 20 février 2016

- De 14 à 14h30 sur le stand des éditions Jourdan
Pour signer J'arrête quand je veux

- De 16 à 17h, sur le stand Interforum (300)
Pour signer Nous sommes tous des playmobiles, L'homme qui valait 35 milliards et Quatrième étage chez Pocket.

- De 17 à 18h, sur le stand Espace Livre et Création (226)
Pour signer Invisibles et remuants publié chez MaelstrÖm.

 

23/09/2015

Dédicace au Théâtre de Liège ce 27 septembre après Blockbuster

L'hèbe, L'ours intérieur, Nicolas AncionL'automne s'annonce chaud brûlant.

Deux de mes romans arrivent en librairie : "Invisibles et remuants" chez MaelstrÖm RéEvolution et "L'ours intérieur" aux Editions de l'Hèbe.

En deux mots, L'ours intérieur a été écrit en 24h chrono au mois de juin, dans le charmant village de Charmey, en Gruyère. Que raconte ce roman, qui par un beau hasard, est le plus récent de tous ceux qui se publient en cette rentrée littéraire ?

Olivier aimerait partir en vacances le cœur léger, laissant le travail et le quotidien à la maison. Il n’a pourtant pas le choix, il va devoir finir de dessiner les planches de Zoé et Zelda dans la chambre d’hôtel, pendant que sa femme et ses deux enfants se doreront sur la plage. Il va devoir passer ses vacances à l’ombre, seul face à son ours intérieur qui le regarde d’un air mécontent. Seul face à son ours… sauf si le destin en décidait autrement.

Pour la petite histoire, Jean-Philippe Ayer et Eleonora Gualandris des éditions de l'Hèbe m'ont invité à écrire ce texte en marathon, pour fêter les vingt ans de la sortie, dans la même maison, de mon premier roman "Ciel bleu trop bleu". Et le roman est sorti en Suisse en même temps qu'était remis le PIJA, le Prix Interrégional Jeunes Auteurs, que j'ai remporté tout jeune, quand j'avais 17 et 19 ans... Tout le monde vieillit, mais le monde littéraire est tissé d'amitiés fidèles.

Et, puisqu'on parle de fidélité et d'amitiés, je suis ravi qu'Invisibles et remuants sorte chez MaelstrÖm, grâce au travail enthousiaste de Pascal Blondiau, d'abord, puis de David Giannoni et de Johan Soibinet, ensuite. Ca bouillonne en permanence chez MaelstrÖm et ce petit roman explosif y est parfaitement à sa place. De quoi est-ce que ça parle ? Mieux vaut laisser le dos du livre se présenter tout seul :

Nicolas Ancion, Invisibles et remuants, MaelstrÖm RéEvolution, roman

Deux romans, c'est déjà beaucoup, mais ce n'est pas fini. C'est aussi ce 27 septembre que le Collectif Mensuel créera au Théâtre de Liège la pièce "Blockbuster", que j'ai écrite avec toute l'équipe, à partir du roman dont on vient de parler plus haut. Le résultat est complètement fou, pille allègrement dans les grosses productions d'Hollywood pour les détourner sur scène.

Et pour relier le tout, ce dimanche 27 septembre, après la représentation de Blockbuster, je serai dans le grand hall du théâtre, à l'invitation de la librairie Livre aux trésors, pou dédicacer tout ça.

Bienvenue à toutes et tous !

Et bonne rentrée, avec ou sans bouquins.

06/02/2015

Premier marathon d'écriture en équipe à Berlin

Ce samedi 7 février à midi précise, sera donné le départ du marathon « La littérature sur le Ring ». Durant 24 heures, pas une de plus, pas une de moins, nous serons sept écrivains à écrire en direct, à bord des trains des lignes S41 et S42, qui tournent en rond autour de la ville.

En direct donc, car les sept textes seront accessibles sur Internet, via le site de l'opération (et mon roman, pour simplifier les choses, sera lisible dans le cadre au bas de cette note de blog).

 

Berlin, 24h chrono, marathon, roman, écriture

 

Qu'écrirons-nous exactement ?

Comme il y a sept réponses différentes à cette question (joli exemple d'homophonie, dans ce début de phrase), je ne peux vous livrer que la mienne : je n'en sais encore rien, c'est tout le plaisir.

 

Je sais juste que ce sera un roman et qu'il commencera par cette phrase :

« – J'aurais dû être poète. »

 

Si vous voulez avoir une idée de ce qu'on peut écrire en 24h chrono et vous découvrez ce blog, vous pouvez aller lire ce que j'ai raconté sur mes marathons à Bruxelles, New York et au Vietnam, avant, pendant et après.

 

Pour le reste, un peu de patience : dès demain midi, la suite sera lisible ici bas.

 

Qui sont les 7 salopards ? (ou les 7 mercenaires bénévoles)

Les voici dans le désordre :

  • Amélie Vrla (FR)

  • Nicoletta Grillo (IT)

  • Robert Klages (DE)

  • Patrick WEH Weiland (DE)

  • Nikita Afanasjew (RU)

  • Neil Jomunsi (FR)

  • ah oui, et moi aussi (BE)

Vous ne les connaissez pas ? L'occasion est parfaite de vous plonger dans leurs textes en français sur le site Littérature sur le Ring, puis d'explorer leurs textes en direct pour réviser votre allemand et rafraîchir votre italien.

 

Berlin, 24h chrono, marathon, roman, écritureQuoi d'autre ?

Demain, il devrait geler ferme toute la journée. C'est l'attente sur le quai qui sera pénible.

 

D'après ce qu'on m'a dit, le train met une heure pour revenir à son point de départ, nous pourrions donc, au mieux, faire 24 fois le tour de la ville, pendant que la terre aura accompli une seule rotation complète.

 

C'est mon quatrième défi de ce type, mais c'est la première fois :

1. que je ne serai pas seul pour écrire (à Hanoï et Ho Chi Minh Ville, deux traductrices travaillaient en direct à mes côtés, mais elles ne racontaient pas d'autres histoires) ;

2. que j'écrirai un roman complet dans un engin motorisé sur rails ;

3. que je n'aurai pas de prise électrique pour brancher mon portable (je devrai régulièrement me réfugier dans des cafés ou autres pour charger ma batterie) ;

4. que je me sentirai responsable pour les 6 inconscients qui se sont laissés entraîner à ma suite dans ce projet toujours aussi dingue et amusant.

 

J'espère que vous aurez envie de lire les textes, de les commenter, de nous envoyer des petits signes de vie à travers les réseaux sociaux.

 

Alors, si vous lisez cette note entre samedi 7 février 2015 à midi et le dimanche 8 à la même heure : plongez-vous dans le texte qui suit et envoyez des commentaires via Twitter (@nicolasancion). J'y utiliserai le mot-clef / hashtag #ringbahn et sur Facebook, sur ma page et vous y trouverez les détails pratiques pour joindre les sept auteurs d'un coup sur un vieux chat (total retro à la mode IRC 1995).

 

Et les commentaires ci-dessous sont ouverts, bien entendu. Je vous laisse, je file au lit, je dois me reposer avant la nuit blanche.

 

À demain, j'espère et bonne lecture !

 

11/06/2014

Deux rencontres à Bruxelles

Allez, zou, deux invitations d'un coup, pour deux rencontres gratuites, ce jeudi et ce vendredi à Bruxelles :

Je donnerai ce jeudi une conférence autour des dépendances chez les jeunes et des moyens de les prévenir pour les parents et les proches. La conférence aura lieu le jeudi 12 juin, à 20h00 dans la cantine des élèves, bâtiment Van Houtte à l’école européenne d’Uccle

Au départ de cette réflexion, un constat : nous sommes tous dépendants. Certains le sont au travail, d’autres à la cigarette, au café, aux vêtements, aux textos ou à des substances un peu plus dangereuses. Comment parler de la dépendance avec les jeunes, sans tomber dans les clichés ? Comment les aider à prendre conscience de leurs propres habitudes sans les juger et sans rompre le contact ?

A partir de deux expériences d’écriture avec et pour les jeunes, en collaboration avec l’Asbl Infor-Drogues, Nicolas Ancion abordera ces questions et proposera des pistes concrètes pour permettre un dialogue sur des sujets difficiles. On y parlera donc notamment de "J'arrête quand je veux", déjà publié et de "En mille morceaux", bientôt chez votre libraire...

Le lendemain, rebelote à Bruxelles, pour le lancement du Pape a disparu :

2 nouveaux romans paraissent en version PAPIER et NUMÉRIQUE chez ONLIT Editions :

> "Le Pape a disparu" de Nicolas Ancion <
> "Sur la grue" d'Olivier Bailly <

À cette occasion, ONLIT Editions et le Cinéma GALERIES ont le plaisir de vous inviter à une soirée de lancement en présence des auteurs !

Au programme : rencontres, dédicaces, drink, food & musique...

En pratique :
Vendredi 13 juin 2014, de 19h à 23h
Cinéma Galeries
Galerie de la Reine, 26 à 1000 Bruxelles

Venez très nombreux et amenez les copains dans vos poches !

bruxelles,j'arrête quand je veux,le pape a disparu