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19/02/2009

L'enregistrement, c'est ce soir

L'enregistrement du Jeu des Dictionnaires, c'est ce soir. Je ne recopie pas toute l'info, il suffit de lire ceci pour en savoir plus.

Belle journée à vous !

17/02/2009

Dans la Cité Volta, portrait sonore d'une cité sociale

Je vous transmets avec plaisir ce joli communiqué, que je viens de recevoir et qui me réjouit :

Ce mercredi 18 février 2009

à 20.00 au Petit Théâtre Mercelis à Ixelles

Dans la Cité Volta, portrait sonore d'une cité sociale

cité volta.jpg

Dans la cité Volta, le roman de Nicolas Ancion, prend pour décor un quartier aux confins d’Ixelles. Des habitants de la cité Volta, rejoints par d’autres ixellois et des amoureux de la littérature, se sont emparés du livre, ont choisi des extraits et les ont lus à haute voix lors d’une lecture-promenade.

Un enregistrement radiophonique prolonge le projet initial : il fait la part belle aux voix, à la ville et à ses bruits, ainsi qu’aux rapports qui se tissent entre ces éléments.

Le mercredi 18 février 2009, des extraits du roman Dans la cité Volta, envahiront le Petit Théâtre Mercelis plongé dans la pénombre pour une écoute tout en émotion.

* En partenariat avec Catherine Vanandruel (asbl Fables rondes), Philippe Delchambre (Radio Campus 92,1 MHz) et CFC-Editions.

Entrée gratuite. La Commune d’Ixelles, à l’initiative du projet, est fière de vous présenter le fruit d’une belle aventure collective.

Petit Théâtre Mercelis
13 rue Mercelis - 1050 Ixelles
02 515 64 63
culture@ixelles.be

PS : pour les amateurs d'aventures sonores inédites, je précise que l'écoute de ce projet radio se fera entièrement dans le noir. A vous d'imaginer le film qui va avec...

Djian, Cestac et Teulé, c'est ce soir (et demain matin)

reveil-ikea.jpgCertains visiteurs m'avaient demandé de mettre un rappel aujourd'hui, je le fais donc très volontiers : il y a une bonne émission littéraire ce soir à la télé et les infos sont ici.

Et comme la critique précède parfois la diffusion, voici ce qu'en disait La Libre ce matin :

Le zoom du jour

Mis en ligne le 17/02/2009

L’enjeu de la littérature contemporaine est une question de regard, d’angle de vue. "Comment parler de choses qu’on a déjà vues cent fois ?" s’interroge Philippe Djian, auteur du récent "Impardonnables" (Gallimard), romancier ("37,2 le matin") mais aussi parolier ("Déjeuner en paix" de Stephan Eicher, c’est lui !). "Ce que l’on peut faire, c’est placer la caméra autrement, différemment".

Face à Thierry Bellefroid, l’écrivain, en général plutôt discret, se livre peu à peu dans Mille-feuilles (La deux, 22h50) , dévoilant sa vision de l’écrivain qui "se sert de toutes les vies qu’il n’a pas vécues", imaginant tous les possibles et, pour cette raison, se permet d’intervenir au cours du récit pour rappeler au lecteur que la narration n’est pas seulement une question de fond mais fait aussi l’objet d’un souci de style.

Prolixe, - Philippe Djian vient d’achever l’écriture d’une série littéraire en six épisodes, "Doggy bag", à l’instar des séries télévisées -, l’écrivain rappelle les efforts et les difficultés rencontrées lors du processus de création et que celle-ci est, rarement, indolore. C’est pourquoi rappeler ce fait lors d’interruptions n’est pas narcissique mais une évocation de la naissance de l’art, pratique dont use Jean Rouaud également.

Dans l’ambiance intime de ce face à face, le "jeu" de la critique mesquine parisienne est évoqué sans détour. Ce genre de critique dont l’effet - celui de propulser, souvent, l’ouvrage en tête des meilleures ventes - est bien loin de celui escompté. "Ces propos très négatifs sont bons pour mon ego," souligne Philippe Djian, non sans ironie.

Malheureusement, nous n’avons pas pu voir la suite de l’émission -appétissante puisqu’elle voyait intervenir Jean Teulé, à l’humour décapant et l’écrivain liégeois Nicolas Ancion, auteur de nouvelles, pièces de théâtre et romans.

En tout cas, l’entretien entre Thierry Bellefroid et Philippe Djian s’est achevé avec l’écoute d’un document sonore étonnant et émouvant : l’écrivain lisant les paroles d’une chanson qu’il venait d’écrire à son ami Stephan Eicher, touché. (C.P.)

10/02/2009

Pour ceux qui ne dorment pas la nuit ou ne travaillent pas le matin

pic0.jpgQui prétend que la télévision ne parle jamais de littérature ou qu'elle se limite à inviter les auteurs pipoles, qui jouent le jeu du rire forcé et du résumé de bouquin entre deux blagues de cul ?

Pas moi, en tout cas, vu que je passe le 17 février dans Mille-Feuilles, l'émission littéraire de la RTBF qui, comme le genre l'exige est diffusée si tard et rediffusée si tôt, qu'il faut être insomniaque ou assigné à résidence à la maison pour voir l'émission sans l'enregistrer. A se demander si c'est bien une grille de chaîne publique qu'on consulte... Le privé ne ferait pas mieux (ah, non, ce n'est pas vrai, sur les chaînes privées il n'y a pas du tout d'émission littéraire, on préfère, en fin de soirée, placer une animatrice moulin à paroles avec des billets en mains pour inciter les spectateurs à envoyer des SMS, ça doit être ça, d'ailleurs, la littérature pour AB3 : les SMS rédigés par le public).

Un joli sommaire pour cette émission du 17/2 : Jean Teulé et Florence Cestac pour leur BD sur la vie de Charlie Schlingo, Philippe Djian pour l'oeuvre de Philippe Djian (il parle de lui-même à la 3e personne comme Alain Delon, ai-je remarqué lors de l'enregistrement, il pourra jouer César dans le prochain Astérix, si AD lui-même lâche la rampe avant le tournage) et moi-même pour "Retrouver ses facultés".

C'est diffusé le mardi 17/2 à 22h55 sur la Deux et le mercredi 18 à 10h38. Ce sera aussi diffusé sur la RTBF satellite, semble-t-il. Ca c'est de l'info précise. Si vous voulez plus précis encore, allez voir directement ici.

05/02/2009

Enregistrement du Jeu des dicos à Liège - comment ça marche

Suite à quelques mails sympathiques, qui me posaient des questions sur l'enregistrement public du Jeu des Dictionnaires à Liège, voici toutes les infos pratiques, recueillies sur le site de l'Université de Liège. Si vous avez plus de questions, adressez-vous à eux ;-)

Jeu des dictionnaires à l'Université de Liège le jeudi 19 février
à 17h30 (ouverture des portes dès 17h - enregistrement de 18h précises à 22h30)
Amphithéâtres de l'Europe, Boulevard du Rectorat 13, Domaine universitaire du Sart Tilman
Interruption vers 20h30.
Sandwiches et boissons en vente entre 17h et 18h ainsi que pendant l'interruption, dans le grand hall des amphithéâtres.
Invité : Nicolas Ancion, pour "Retrouver ses facultés".
Ouvrage disponible sur place. Dédicace possible.

Billets en vente : 6 euros :

  • Aux Relations extérieures et communication, place du 20-Août 7, 1er étage, 3e porte à gauche
    tél. 04 366 5218
  • A la Fédé, place du 20-Août 24
    tél. 04 366 3199
  • Auprès de Viviane Miocque, Bâtiment B18, Département de Géologie, Sart Tilman
    tél. 04 366 2251
  • En versant avant le 12 février la somme de 6 euros par place
    sur le compte 340-1558001-25 en précisant en communication : nom, prénom, nombre de places. Dans la limite des places disponibles. Merci d'annoncer votre paiement par un mail à relationsexterieures@ulg.ac.be

Merci aux Restos universitaires et à la Fédé pour leur collaboration !

Tout ceci provient de .

retrouversesfacultes-pubmag.jpg

04/02/2009

Enlivrons-nous à Uccle ce lundi !

Christian et Nicolas.jpgCe lundi soir, le 9 février si mon agenda est correct, je serai à Uccle, au Centre Culturel, pour une rencontre publique avec les lecteurs.

Le cycle de rencontres s'intitule "Enlivrez-vous", ce qui m'amuse beaucoup car c'était également le titre d'une séquence radio, que j'animais avec un immense plaisir dans "Bonjour quand-même", l'émission matinale de Jean-Pierre Hautier sur la première. Le titre me plaisait, mais il passait très mal en radio. On n'appelait jamais la séquence par son nom et JPH disait le plus souvent "Nous alllons retrouver Nicolas Ancion pour parler des rencontres qui se déroulent en librairie dans les prochains jours", ce qui n'était pas plus mal, ça permettait au moins aux auditeurs de comprendre tout de suite de quoi on allait parler.

Pour la petite histoire, la séquence en question était liée au sponsoring de la SMAP, qui, lorsqu'elle a changé de nom, a suspendu ce genre de projet pendant quelques semaines, histoire de voir si ça collait toujours avec la nouvelle étiquette, Ethias. Les choses ont traîné, la séquence a disparu et j'ai arrêté de me lever avant le soleil pour rejoindre les studios de la RTBF à temps pour passer en direct à l'antenne. Liège-Bruxelles à ces heures-là, c'était le parcours du combattant.

On ne parlera sans doute pas de cela, lundi soir à Uccle, mais vous êtes les bienvenus quand-même !

C'est à 18h30 et pour toutes les infos pratiques, vous n'avez qu'à vous rendre ici.

PS : je n'ai évidemment pas de photo de cette rencontre, puisqu'elle n'a pas encore eu lieu. J'ai donc placé une photo prise l'an dernier, à l'abbaye de Stavelot, lors d'une rencontre avec une douzaine de classes du secondaire, autour de mon recueil "Nous sommes tous des playmobiles".

15/01/2009

Les Playmobiles Prix Stendhal des Lycéens?

perroquet.gifJe suis invité au salon du livre d'Agen, en mai 2009 et c'est avec un immense plaisir que j'ai découvert que mon recueil de nouvelles "Nous sommes tous des playmobiles" était sélectionné pour le Prix Stendhal décerné par des lycéens.

D'abord parce que je suis un inconditionnel des prix littéraires anonymes ou décernés par des vrais jurys de lecteurs (pas par une brochette de lecteurs triés sur le volet par la rédaction d'un magazine, j'ai des mauvaises expériences avec ce genre d'opération, où l'équipe rédactionnelle veut défendre une certaines image des lecteurs - ou lectrices - de son mensuel sur papier glacé et finit par décider seule de la qualité des livres sans les lire). J'aime le pouvoir de la masse, l'égalité un lecteur = une voix, la force tranquille des subjectivités additionnées, la pondération des résultats, le calcul de l'écart type et toutes ces foutaises qui disparaissent bien vite au profit du simple palmarès. Il y a un gagnant et une certitude, c'est son livre qui a plu aux lecteurs, basta.

Ensuite parce que depuis tout petit je ne connais d'Agen que ses pruneaux, qu'ils sont délicieux, et que si le reste est du même tonneau dénoyauté, le salon s'annonce formidable.

Puis également parce que j'aime beaucoup ce petit recueil de nouvelles, qui s'est retrouvé finaliste pour le Grand Prix de l'Humour Noir (finalement décerné à Jean-Baptiste Pouy, qui le méritait bien; le troisième finaliste, Alain Robbe-Grillet, quant à lui, est mort de chagrin depuis l'annonce des résultats; je trouve que je m'en sort bien, finalement), pour le prix Marcel Thiry (que Bernard Quiriny a reçu, à quelques semaines du Prix Rossel; je finirais par croire que son livre est fort bien et ça me donnerait envie de le lire) et pour quelques autres, qui m'échappent en ce moment, mais n'a jamais reçu aucune récompense. Il n'est jamais trop tard pour bien faire.

Enfin, parce que le prix est décerné le jour de mon anniversaire et que c'est un signe qui ne trompe pas. Un gâteau et des bougies, c'est bien, mais on m'a déjà fait le coup. Un prix littéraire pour fêter mes trente-huit ans, c'est plus original. Si les jurés du prix passent par ici, qu'ils n'hésitent pas à tenir compte de cet argument, en toute objectivité, au moment du vote.

Et que le meilleur gagne ;-)

07/01/2009

Invité du Jeu des Dictionnaires le 11 juin à Liège

blodico.JPGZou, à chaud, l'info vient de tomber, je suis invité au Jeu des dictionnaires, dont l'enregistrement se fera dans la salle académique l'amphithéâtre de l'Europe sur le campus de l'Université de Liège au sart-Tilman, le 11 juin 19 février prochain en début de soirée.

Si vous êtes en bord de Meuse ce soir-là, soyez les bienvenus, venez nombreux, surtout si vous avez un rire communicatif (ma grand-maman, qui habitait à deux cents mètres de là à vol d'oiseau, avait ce genre de rire, elle pouvait dégeler une salle avec ses éclats et ses quintes de rire), et si vous avez le rire sobre, venez aussi, la salle est grande et joliment rénovée !

Ce sera l'occasion de parler un peu de mes deux de mon bouquins à paraître d'ici-là :

  • Retrouver ses facultés, recueil de souvenirs inventés sur les années d'université, illustré par Pierre Kroll, aux Editions de l'Université de Liège (10 EUR seulement, sortie le 22/1);
  • Les ours n'ont pas de problème de parking, réédition chez Pocket du recueil de nouvelles désormais introuvable, avec la nouvelle qui a fait débat lors du teste de lecture dans les écoles secondaires : "Nettoyage à sec" (sortie mai 2009).

(Comme vous l'aurez remarqué, l'actualité est bousculée, en 24h, la date d'enregistrement de l'émission a changé, ça explique les ratures.)