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09/03/2011

Train de nuit

Train, poésie, cheminot, nuit, nicolas ancion, belgique Le type à côté de moi a défait sa ceinture

Déballé son thermos

Bu deux tasses

Fouillé dans sa mallette

Il y a un cadenas rouillé

sur sa mallette en cuir

Elle est lourde il la traîne sur un diable

Pauvre type

Traîner le diable derrière soi

Ce n’est pas une vie

Dans sa mallette, le gilet fluorescent des cheminots, un mousqueton rouge qui dépasse, une bouteille d’eau pétillante et cette lettre qu’il sort puis déchire minutieusement.

Vous avez gagné à la loterie, dit-elle en flamand, vous avez été sélectionné pour la grande finale, vous êtes riche, vous êtes beau, vous êtes celui espérez être

Erreur

Vous êtes un autre

Vous êtes le voisin de train à la mallette

Beige en cuir cadenassé

Le cheminot à chemise bleue à cravate jaune

Vous êtes le type d'à-côté

Pas celui sur qui ça tombe mais l’autre

Celui qui y croit dur comme fer mais qui ne gagne jamais

Le type d'à-côté a délacé ses chaussures

Etendu ses jambes molles

Fermé les yeux

Il dort déjà le type d’à-côté

Et rêve à son enveloppe

Ou au monde qu’il inventerait s’il écrivait un peu

Demain il s’y mettra

Et moi aussi d’ailleurs

Demain, j’écris la fin du monde

23/02/2011

Who's Nicolas Ancion - Qwiki answers

For those who don't like to read Wikipedia and like to see images while surfing, Qwiki is the perfect search engine.

It reads results aloud and displays images.

You wanna see how it works, here's an example :

 

14/02/2011

Et vous, qu'écrirez-vous après la fin du monde en 2012 ?

2012.jpgÀ moins que vous n'habitiez à l'abri des ondes radio, de la télé et hors de portée de l'Internet et des kiosques à journaux, vous devez déjà être au courant, le monde finira en 2012.

 

Des tas d'imbéciles le pensent, du moins, sous prétexte que les Mayas ont un calendrier qui s'arrête au 31 décembre de cette année-là et que des gourous de tout poil, qui n'ont pas retenu les leçons du passé (vous vous souvenez des prédictions de fin du monde de Paco Rabanne ? On y a tous survécu, même lui : c'est dire si le ridicule ne tue pas !), soutenus par des chercheurs de pointes tels Roland Emmerich à Hollywood ou Georges Lucas (qui, je vous le jure, refuse de préparer la troisième trilogie de Star Wars parce qu'il pense qu'il mourra comme tous les Terriens en 2012), matraquent les esprtis faibles avec l'idée que le monde pourrait bien s'achever à cette date.

 

Dans le monde réel, cette histoire à dormir debout me fait penser que certains feraient bien d'arrêter de polluer le monde dès 2012 avec leurs idées ridicules. Mais dans l'univers de la fiction, la fin du monde, c'est tout de même un beau sujet pour raconter des histoires (d'ailleurs, allez, c'est un scoop, je travaille sur un roman autour de ça, mais pas autour de 2012, tout de même, je serais obligé de le finir trop vite).

 

D'ailleurs un éditeur numérique lance un appel aux auteurs de genre, pour qu'ils lui soumettent des idées et des manuscrits sur ce thème. Les romans seront courts et percutants, ils seront publiés en version digitale.

 

Voici l'appel de Numériklivres :

 

Après tout, bâtir une collection numérique exclusivement consacrée à la science-fiction, à la fantaisie, au polar futuriste, voire pourquoi pas à la romance ou à l’érotisme apocalyptique (on vient d’inventer le genre), avec pour toile de fond la fin du monde de 2012, c’est une façon originale de vous fédérer, vous auteures et auteurs, autour d’un événement éditorial dont nous assurons la promotion pour vous, pour valoriser votre travail.

Qu’attendons-nous de vous ?

Pour participer à cette collection, vous devez nous faire parvenir un manuscrit original (fichier .doc, .rtf, Pages) par courriel. Votre manuscrit devra faire entre 15.000 mots minimum et 30.000 mots maximum. Ce n’est pas le format nouvelle, c’est ce que nous qualifierons de mini-roman. Les genres retenus pour cette collection 100% numérique sont:

  • Fantasy

  • Bit-lit

  • Science-Fiction

  • Polar futuriste

  • Romance, érotisme apocalyptique

  • Thriller scientifique

Outre le fait de respecter les genres pré-cités, vous devez absolument « mettre en scène » la fin du monde en 2012. L’intrigue peut se dérouler avant, pendant ou après le 21 décembre 2012. Cette date peut servir de chute à votre histoire.

Dans un premier temps, merci de nous faire parvenir un synopsis d’un maximun de 2 pages ainsi qu’une petite bio sur vous et de nous indiquer la date de remise de votre manuscrit. Bien sûr, votre manuscrit devra être validé par notre comité de lecture avant d’être publié avec un contrat d’édition à la clé (un vrai contrat d’édition).

Et pour plus d'infos, visitez le site http://enattendant2012.com/. Bonne écriture à toutes et à tous !

26/01/2011

Qu'est-ce qu'un éditeur (numérique) aujourd'hui ?

ebook.jpgEn fouillant le site Luc Pire Electronique dans les Internet Archive, j'ai retrouvé ce texte rédigé par Patrick Bartholomé (si ma mémoire est exacte) en 2000 dans "Les dossiers de l'e-book", pour répondre à la question "Que devient le rôle de l'éditeur ?"

Au fond, son analyse est toujours d'actualité, simplement onze ans ont filé et les éditeurs traditionnels ont largement laissé passer le train, au point de chercher aujourd'hui à écarter les jeunes structures éditoriales qui occupent la place que les édinosaures ont laissé vacante. Allez, je me tais, je vous laisse lire ce texte :

Nouvelle donne dans ce métier, difficile compromis entre marchand de papier imprimé et découvreur de talents, créateur de tendances et commercial docile, manager avisé et vecteur d'opinions...

Le livre électronique représente une diversification pour les éditeurs-papier, la possibilité de mieux diffuser leur fonds, celle de réexploiter un fonds plus ancien... et surtout il représente une concurrence potentielle importante. Voilà pourquoi les éditeurs de papier se livrent actuellement à de grandes manoeuvres, pleines de faux-pas et de valses-hésitations, pour être présents quand le marché sera prêt à consommer du livre électronique. Les grandes compagnies pétrolières ne font pas autre chose, qui sont occupées à investir lourdement dans la recherche sur les cellules photovoltaïques...

Les produits peuvent changer, mais ce qui ne peut varier, c'est que notre argent aille dans leur poche... Pourquoi pas, après tout ? Car ces entreprises concentrent un savoir-faire et des moyens importants, capables de faire bouger les choses. Pourquoi pas, à condition qu'il reste, dans le domaine de l'énergie, comme dans celui de l'édition, de la place pour une démarche libre, une "pensée latérale", alernative, non alignée, non-commerciale... C'est l'éternelle question des monopoles de fait et de la pensée unique.

En ce qui concerne l'édition, voici venir une chance pour les éditeurs inspirés (grands ou petits) de prouver ce qu'ils savent faire, de redevenir des découvreurs de talent, de faire le tri entre ce qui mérite d'être publié et le reste...

 

Distribution et position dominante

Il faut dire également que plus encore que les éditeurs, aussi géants soient-ils, ce sont les distributeurs qui font la fortune d'un livre ou non. Leur puissance d'achat et de présence sur le marché, la rapidité avec laquelle ils renvoient les invendus ne laissent guère d'autre choix aux éditeurs que le pilon ou le stockage. Vu les coûts du stockage, c'est la première option qui est le plus osuvent choisie.

La position des distributeurs est tellement puissante que c'est sur eux que repose réellement le sort d'un ouvrage. Or, dans la chaîne liant l'auteur d'un livre électronique à son lecteur, l'intervention des distributeurs est entièrement escamotée, au contraire de celle des éditeurs. Voilà qui pourrait bien changer pas mal de choses... Un risque de perte de qualité Il faut garder à l'esprit qu'en rendant chacun de nous éditeur potentiel, l'édition électronique risque de devenir synonyme "d'édition de tout et de n'importe quoi". C'est déjà ce qu'on voit sur le web, où de nombreux sites ont un intérêt limité et un contenu de qualité insuffisante. Avec l'avènement du livre électronique, les éditeurs professionnels, venus du papier ou nouveaux venus, libérés des contraintes matérielles, devront pour être crédibles continuer à exercer une vraie politique éditoriale, c'est à dire une vraie (donc dure) sélection.

Les éditeurs actuels sauront-ils nous étonner ? Ou confinés frileusement sur leur pré carré, se feront-ils manger sur la tête par les "petits nouveaux" ? L'avenir nous le dira...

Si vous voulez en lire plus, voici le lien vers les archives de ce dossier.

PS : l'illustration est tirée du site original de Luc Pire Electronique en 2002, créée par Olivier Evrard. On peut désormais retrouver Olivier sur son site.

01:13 Publié dans Trucs en ligne que j'aime | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer

18/11/2010

Interview à l'université de Sherbrooke

Nicolas Ancion: «On n’est jamais écrivain qu’aux yeux des autres»

15 novembre 2010

À 40 ans, Nicolas Ancion a réussi son pari: vivre de sa plume. Mais c’est en 1995 que ce Liégeois d’origine a publié son premier roman, Ciel bleu trop bleu, «qui intrigue la critique par sa poésie absurde et cruelle». Aujourd’hui, j’ai décidé de vous ouvrir la porte de cet écrivain multi-genres qui a un regard très humble sur son parcours et de nombreuses idées dans ses cartons.

Christelle Lison 

Le Collectif (LC): Qu’est-ce qui vous a amené à devenir écrivain?

Nicolas Ancion (NA): On n’est jamais écrivain qu’aux yeux des autres, et encore, pas dans toutes les circonstances: quand je vais chercher mes enfants à l’école, je suis le papa de Lucie et Joseph, quand je prends le train je suis un passager, quand je suis dans la queue à la caisse du supermarché (épicerie), je suis un client et ainsi de suite. On ne décide pas de devenir écrivain, je pense, on le devient aux yeux des autres un peu par accident. En revanche, j’ai toujours aimé écrire et imaginer des histoires. Ce plaisir-là n’a pas changé avec les années, même si aujourd’hui, je ne fais plus que ça et que je n’ai plus d’autre métier à côté.

J’ai publié pendant 13 ans sans en faire mon métier, puis je me suis rendu compte que ça ne me tomberait pas dessus par hasard, un beau matin. Si je voulais vivre de l’écriture, il fallait d’abord que je m’y consacre entièrement. Le succès viendrait peut-être ensuite. Cela fait trois ans que j’ai fait le pari de vivre de ma passion et jusqu’ici tout va bien. Croisons les doigts (mais ne nous croisons pas les bras).

(LIRE LA SUITE SUR LE SITE ORIGINAL)

Cette interview a été publiée le 16 novembre 2010 sur le site Le collectif, journal des étudiants de l'Université de Sherbrooke.

03/11/2010

48h avec Crouzet

Si vous ne connaissez pas encore Thierry Crouzet, il est temps de vous y mettre.

 

Alors que des brouettées entières d'auteurs cherchent encore le bon dosage entre le web et le papier, leur écriture de blog et les publications en librairie, Crouzet s'assied des deux fesses sur cette vieille frontière et attaque l'écriture numérique sur tous les fronts. Il a trois idées par heure au moins, comme la plupart des auteurs, mais il en exploite et en explore au moins une par jour dans son blog. Il la décortique et la partage, pour qu'elle en fasse naître de nouvelles. Ou pour s'en débarrasser, c'est selon.

 

Je n'ai pas envie de commenter ici tout ce qui se dit là-bas, dans ce blog abondant, j'ai l'habitude de commenter sur place les billets qui me donnent des idées (et ils sont nombreux car la pensée de Crouzet, polémique et sitmulante, est contagieuse). Allez donc y voir.

 

tunethumb.jpgMais j'ai eu le plaisir de participer à une aventure collective, initiée par Thiery Crouzet, qui consistait à rassembler, en quelques heures, un collectif de personnes de bonne volonté prêtes à donner un coup de main pour éditer une nouvelle, intitulée "La tune dans le caniveau". Il fallait des éditeurs pour lire et corriger le texte, des relecteurs pour l'orthographe, des graphistes, des metteurs en page, des diffuseurs en ligne, des blogueurs et on a tout trouvé très vite et chacun y a mis du sien.

 

L'idée était tout simplement de voir si une coopérative d'internautes pouvait remplacer une structure éditoriale traditionnelle. Techniquement, il n'y a pas de doute, c'est réussi.

 

Le livre est désormais achevé et disponible, on peut le lire en ligne, le télécharger sur des tas de machines, l'acheter en librairie ou en ligne en version papier ! Tout cela se passe ici : La tune dans le caniveau. Et, pour la première fois, le prix est complètement variable : selon le service que vous souhaitez (un livre papier, un fichier PDF, un fichier pour iPhone...) le prix varie. Le texte est même carrément gratuit sur un simple clic, à condition (il y va de votre honneur) que vous veniez ensuite payer si vous avez aimé le texte.

 

Alors qu'attendez-vous ? Que je vous donne mon avis ?

 

Bon, d'accord, même si je suis très mal placé pour juger.

 

Disons, pour ne pas trop dévoiler la chose que l'histoire se passe dans un futur proche. Le monde est particulièrement fliqué, observé. Un vieil homme, respecté, doit prononcer un discours dans un haut lieu de la culture française, alors que la société semble au bord de l'effondrement. Sa fille, résistante de premier ordre, veut se mêler à la foule pour entendre les mots de son père.

 

Rapide, efficace, le récit de Crouzet utilise bien entendu l'anticipation pour parler de notre monde, de ses dérives et de l'espoir qui peut encore le traverser. La tune dans le caniveau est une nouvelle qui fait réfléchir sans peser, ni dans la tête, ni dans le portefeuille.

 

Et pour ceux qui ont la chance d'habiter dans l'Aude, je serai demain soir, le jeudi 4 novembre, en compagnie de Thierry Crouzet et de Didier Millotte, pour une soirée littéraire animée, à la bibliothèque d'Espezel (à partir de 18h) puis avec le même trio le lendemain, le vendredi 5 novembre, à la bibliothèque de Mouthoumet (dès 18h aussi). Ces deux rencontres sont organisées par la Bibliothèque départementale de l'Aude.

 

Venez nombreux. Et si vous ne venez pas, vous n'avez qu'à visiter le blog de Thierry Crouzet pour y lire le compte-rendu. Ou celui de Didier Millotte pour voir les dessins ! Dans les deux cas, vous ne regretterez pas le voyage.

 

 

24/08/2010

Bibliothèque sur mesure pour pas cher

mur.jpgAlors, voilà, au début de l'histoire, il y avait un joli mur en bois naturel avec une fenêtre au milieu. Puis il y avait aussi des piles de livres qui débordaient d'autres bibliothèques, notamment beaucoup de BD, que j'avais envie de ranger ailleurs qu'au pied de mon lit ou au-dessus des chiottes. Mais je n'avais pas envie d'aligner des meubles préfabriqués qui n'auraient pas eu la bonne taille et qui auraient tout gâché.

Heureusement, il y avait Internet où j'ai trouvé un mode d'emploi magique pour construire une bibliothèque sur mesure sans se tuer à la tâche.

P1110014.JPGSuffit d'abord de bien mesurer les murs, de faire un petit plan, de compter le nombre de boîtes et d'étagères, de calculer le métrage de bois dont on aura besoin, de se rendre dans un magasin qui vend du bête matériel de bricolage.

 

P1110013.JPG

On achète alors des planches et des vis. Si nécessaire, une scie sauteuse, un mètre roulant, un tournevis et une perceuse. Mais j'imagine que vous disposez de tout cela.

Au total, j'en ai eu pour 150 EUR de matériel. Imbattable.

Même Ikea peut tenter de concurrencer ça en faisant suer des gamins en Malaisie. Il n'y arrivera pas.

 

P1110012.JPGRestait donc à scier les planches (il y en avait tout de même quelques unes puisque je devais assembler 36 boîtes composées de 4 planches chacune, et poser 17 planches d'étagères). Puis je les ai assemblées pour construire les 36 boîtes.

Suffisait alors de les empiler, de poser des planches dessus, de descendre de l'échelle pour regarder si le montage semblait correct.

 

P1110038.JPGPuis de tout désempiler et de reprendre l'empilement depuis le début, couche par couche, en vissant et clouant pour de bon, histoire que la bibliothèque ne tombe pas sur les pauvres lecteurs ou, pire encore, sur les simples visiteurs...

Faire un petit plan, c'est bien, mais vérifier que ça fonctionne en grandeur nature, c'est mieux.

Au bout du compte, la pose des 36 boîtes, c'est le plus amusant. On se met à imaginer quels livres on va mettre où. On joue comme avec les pièces d'un Lego à taille adulte.

 

 

Et voilà le résultat avant remplissage :

P1110042.JPG
Ce qui, après quelques transferst de livres et d'albums donne ceci, une fois le remplissage entamé :
Etagère.jpg

Comme vous voyez, il reste de la place. Ce n'est jamais que la cinquième bibliothèque de la maison, il vaut mieux prévoir un peu de vide à combler. Rien que pour la rentrée littéraire, il y a 700 romans à caser dans les rayonnages. Ah non, tiens, ces 700-là, je ferai comme les autres, j'attendrai un peu qu'ils décantent pour ne déguster que ceux qui restent dans un ou deux ans...

Bonnes lectures et bonne rentrée !

15/08/2010

Une étagère en... livres

Etagere1.jpgL'année dernière, j'avais aperçu sur le net une très belle étagère fabriquée à partir de livres (les livres ne sont dans ce cas pas recyclés, ils sont plutôt réemployés, ce qui me semble plus écologique encore) et j'avais eu très envie de me lancer dans l'aventure. J'avais carrément trouvé un plan de montage sur le site instructables il me semble mais je ne parviens plus à remettre la main dessus. Peut-être que j'étais simplement parti de celui-ci en l'améliorant un peu. En tout cas, je m'étais mis au travail et j'avais tout fait en quelques heures.

Il me restait simplement à l'accrocher. C'est désormais chose faite et, du coup, je partage le résultat avec vous ici.

Comment ai-je fait ?

Etagere2.jpgJ'ai pris une pile de livres que je ne lirais plus, deux attaches en angle d'armoires Ikea, j'ai percé la pile de livres de deux trous et je les ai reliés à l'aide d'un fil de fer épais, j'ai vissé les deux accroches d'armoires à l'arrière dans les deux derniers livres, en creusant un peu les pages pour qu'on ne devine pas trop leur présence, j'ai encore collé les pages des livres extérieurs et j'ai fixé au mur avec deux vis.

Tout simple, hein ?
N'empêche, sans schéma, sans montage et sans mode d'emploi, on n'y comprend rien.

Je pense que le résultat est joli, même quand on ne comprend pas, de toute façon.

On n'a qu'à se dire que c'est de la magie :-)

17:35 Publié dans Bricolage, Trucs en ligne que j'aime | Lien permanent | Commentaires (6) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer