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14/10/2009

Farfouillons la bibliothèque

enfant_bebe_livre.jpgA l'invitation de Valy Christine Oceany, je réponds à un questionnaire qu'elle avait elle-même reçu de Daniel Fattore. En règle générale, je ne suis jamais les chaînes de blogs mais ce questionnaire-ci m'a semblé plus amusant et plus intéressant que d'autres. Il invite les blogueurs à replonger le nez dans leur bibliothèque sous un jour un peu différent. Et c'est une excellente idée.

Pour certaines questions, j'ai répondu en tant qu'auteur, ce qui n'était pas prévu initialement, je pense, ce n'est pas grave, il me semble. J'ai juste trouvé bon de signaler cela par une astérisque avant le numéro de la question. Vous voilà prévenus.

Bonne lecture !

1. A quel livre dois-tu ton premier souvenir de lecture?

Selon l'heure du jour ou de la nuit, les souvenirs varient. Il y a les aventures de Petzi chez Casterman (des BD sans bulles, traduites du danois, où la tête du personnage apparaît sous les cases à côté du texte), les grand albums de Richard Scarry, dans lesquels on se perd pendant des heures. Ces deux-là c'est pour la journée. Quand j'y pense au milieu de la nuit, ce sont les grandes doubles pages des albums de Philippe Fix pour illustrer les aventures de Séraphin qui me reviennent à l'esprit puis les escaliers infinis remplis de monstres aux yeux globuleux dans « L'apprenti Sorcier » de Tomi Ungerer.

2. Quel est le chef-d'œuvre "officiel" qui te gonfle ?

Sans hésitation aucune, « Le Petit Prince » et son cortège de bons sentiments à bas prix.

3. Quel classique absolu n'as-tu jamais lu?

Tout Hemingway, entre mille autres. Je n'ai pas une grande culture de la littérature classique. Celui que j'aimerais beaucoup lire, ces temps-ci, c'est Don Quichotte.

4. Quel est le livre, unanimement jugé mauvais, que tu as "honte" d'aimer ?

Je n'ai honte de rien. Mais j'admets volontiers que j'ai lu avec beaucoup de plaisir des tas de volumes des aventures de Sylvie, hôtesse de l'air (par René Philippe dans la collection Marabout Mademoiselle) alors que je n'ai jamais lu une ligne de Bob Morane, publié par le même éditeur au même moment. Sylvie, c'était pour les filles. Et ce n'était pas de la grande littérature.

5. Quel est le livre que tu as le sentiment d'être la seule à aimer ?

Le seul, je ne pense pas que ce soit possible. Quand un lecteur est convaincu, il partage au moins son enthousiasme avec l'éditeur qui a publié le livre :-) Disons que je n'ai jamais croisé personne qui citait « L'employé » de Jacques Sternberg parmi les romans qui avaient compté dans sa vie de lecteur.

6. Quel livre aimerais-tu faire découvrir au monde entier ?

Il y en a des tas. Le dernier grand enthousiasme, c'était peut-être « Épépé » de Ferenc Karinthy, un roman hongrois écrit en 1970, qui mérite de figurer à côté du « Procès » de Kafka et de « Voyage au bout de la nuit » de Céline, parmi les romans les plus forts du XXe siècle. Je ne sais pas à combien de personne j'en ai parlé après l'avoir lu.

7. Quel livre ferais-tu lire à ton pire ennemi pour le torturer ?

Pour que la torture m'amuse, je ferais Livre Jockey (LJ) et je mélangerais les passages de centaines de titres qui me tombent des mains. Citer un titre en particulier serait faire trop d'honneur à un auteur qui ne le mérite pas. Je crois que le pire qu'on trouve aujourd'hui, ce sont les traductions faites à bon marché où il faut retraduire la phrase en anglais pour saisir son sens. Le pire que j,aie lu récemment (et c'était à haute voix en plus) c'est « Le fait du prince » d'Amélie Nothomb. Penser que ce livre a été lu par des centaines de milliers de lecteurs, dont beaucoup l'ont aimé, fait craindre le pire pour la faculté de juger des lecteurs d'aujourd'hui.

8. Quel livre pourrais-tu lire et relire ?

« Un homme si simple » d'André Baillon.

* 9. Quel livre faut-il lire pour y découvrir un aspect essentiel de ta personnalité ?

Ben, au risque de passer pour nombriliste, je dirais que c'est dans mes propres bouquins qu'on me découvre sans doute le mieux.

10. Quel livre t'a fait verser tes plus grosses larmes ?

Je ne me souviens pas d'avoir pleuré avec un livre entre les mains à part pour « Mon bel oranger » quand j'avais douze ans.

11. Quel livre t'a procuré ta plus forte émotion érotique?

Le Larousse 1981.

12. Quel livre emporterais-tu sur une île déserte ?

Pas le Larousse 1981, en tout cas. Peut-être « Don Quichotte », pour ne pas finir mes jours sans l'avoir lu.

* 13. De quel livre attends-tu la parution avec la plus grande impatience ?

« Quatrième étage », en poche chez Pocket (en janvier 2010, on y sera vite).

14. Quel est selon toi le film adapté d'un livre le plus réussi ?

Les films de Kubrick sont à mes yeux des modèles d'adaptation de bouquins au grand écran. « The Shining » est impeccable, on ne sent pas le moins du monde qu'il y a un livre derrière (de Stephen King), au contraire, on dirait que ça a été pensé pour l'image. Sinon, plus récemment, c'est « Requiem for a Dream » de Darren Aronovski (d'après Hubert Selby Jr.) qui m'a soufflé. Et il y a à coup sûr une filiation entre les deux.

Pour terminer, si vous avez envie de répondre à votre tour à ce questionnaire sur votre blog, n'hésitez pas. Si vous le signalez dans les commentaires, j'irai volontiers vous lire.

 

17:12 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : lecture, bibliothèque, livres, classiques, roman | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer

25/09/2009

Mon roman traduit en anglais... en six heures chrono !

hommequi.jpgLors des interviews à l'occasion de la sortie de mon roman, on m'a souvent posé la même question : "Avez-vous envoyé votre roman à Lakshmi Mittal ?" et j'ai chaque fois répondu que non, que je n'ai pas son adresse et que je ne le connais pas, que je ne vois pas pourquoi j'aurais dû lui envoyer mon livre en service presse (après tout, il n'est pas journaliste, que je sache). Quand on m'a demandé s'il l'avait lu et s'il avait réagi, j'ai répondu que je n'en savais rien et qu'il n'avait, jusqu'alors, pas pris contact avec moi.

Depuis hier matin, j'en sais un peu plus.

C'est la RTBF qui l'annonce ce jeudi matin aux infos régionales : la direction d'Arcelor a fait livrer un exemplaire de « L'homme qui valait 35 milliards » à Londres lors de sa sortie en Belgique et a fait traduire le livre en six heures en anglais pour le Président (qui n'est autre que Lakshmi Mittal, personnage du livre).

Cette info me laisse rêveur : 6 heures pour traduire 288 pages, cela tient de l'exploit ou de l'exploitation ! Un traducteur littéraire professionnel aurait obtenu 3 mois de délai pour réaliser ce travail. Qui donc a les capacités de traduire aussi vite ? Steve Austin, l'homme qui valait 3 milliards lui-même, lancé à fond de balle ? Pas même. La réalité est qu'en six heures on doit pouvoir concocter un résumé rapide et repérer les passages les plus intéressants pour la première fortune d'Angleterre. Ceux qui parlent du personnage qui porte son nom, en d'autres termes.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Lire c'est bien. C'est très bien, même. Utiliser cette lecture comme excuse pour ne pas relancer l'activité sidérurgique, c'est autre chose.

Voici l'extrait du journal parlé de 7 h30, du jeudi 24/9/2009, où Michel Grétry raconte la réunion de comité de suivi entre direction et syndicats la veille chez ArcelorMittal à Liège. Il explique qu'on a surtout parlé de l'image de marque du site liégeois d'ArcelorMittal dans les médias pour le moment :

"C'est que les Liégeois n'ont pas bonne presse en haut-lieu. L'état major de la multinationale est chatouilleux comme dans toute société cotée en bourse, il cherche à contrôler l'information, soit. Mais cette volonté prend des formes insoupçonnées (...), lors de la parution du livre "L'homme qui valait 35 milliards", un roman surréaliste qui imagine l'enlèvement du grand patron en personne d'ArcelorMittal, l'ouvrage aurait été commandé et apporté le jour-même au siège londonien de la firme et le texte traduit en quelques heures pour que le Président puisse en prendre connaissance. Vraie ou fausse, l'anecdote a servi d'argument pour justifier les hésitations d'ArcelorMittal à s'investir en Région wallonne. Un bouquin peut-il vraiment bloquer une coulée d'acier? C'est difficile à croire. Il serait temps sans doute de revenir à des logiques plus industrielles."

Après vérification auprès de plusieurs journalistes, les sources concordent : la direction d'ArcelorMittal fait croire que la sortie de mon roman (le 27 août 2009, faut-il le rappeler) est un des éléments qui empêchent la réouverture des sites sidérurgiques liégeois aujourd'hui ! Je suis sidéré.

Suis-je le seul à me souvenir que la fermeture de la phase à chaud dans le bassin liégeois a été annoncée officiellement dès 2003 par ArcelorMittal et que la société n'a jamais vraiment changé de cap depuis. La réouverture ? Mais c'est de la poudre aux yeux pour éviter une réaction des ouvriers dans la rue. On les licencie par tranche d'un millier pour éviter l'affrontement et diviser les troupes. La stratégie est vieille comme le licenciement mais elle marche toujours.

Mon roman serait responsable de la fermeture des haut-fourneaux décidée 6 ans avant sa sortie ?

Comme quoi, on peut faire partie du management d'un groupe sidérurgique et confondre des notions aussi simples que la cause et la conséquence !

Non, mon roman n'a pas provoqué la fermeture mais l'annonce de la fermeture a par contre mis en branle l'envie de l'écrire...

 

20/09/2009

L'Homme qui valait... dans L'Est Républicain

Beaucoup de radio et de télé ces derniers jours où l'on parle de "L'homme qui valait 35 milliards" : commes les liens sont périssables rapidement, je préfère ne pas les afficher ici (vous pouvez toujours les trouver sur mon profil Facebook, bienvenue à toutes et tous). Voici par contre un bel article signé Michel Vagner et publié dans l'Est républicain à l'occasion du salon "Le livre sur la Place" à Nancy.

Bonne lecture !

Est-Républicain Michel Vagner 16 09 09.jpg

15/09/2009

Encore une blogueuse pillée par la presse

L'homme qui valait 35 milliards.jpgLa rentrée littéraire, c'est l'avalanche de bouquins, je veux bien.

La presse écrite, c'est la pression permanente pour boucler les articles à temps, je le comprends.

"L'homme qui valait 35 milliards" est un gros roman, il est un peu plus difficile à cerner que la publication annuelle d'Amélie Nothomb, je l'admets.

Mais de là à ce que la presse écrite se permette de pomper, par simple copier-coller, des phrases entières de la critique publiée par une blogueuse, tout de même, il y a un fossé que seule une absence totale de déontologie permet de franchir.

C'est ce qui est arrivé ce matin.

D'un côté, il y a la critique publiée par Carine Pires sur le blog Boookomaton, le 29 juillet, bien avant la sortie du roman. Ce fut même la première critique publiée au sujet de ce livre. De l'autre, il y a un article publié ce matin dans le quotidien belge "La Libre Belgique", sous le titre "Un enlèvement presque parfait" et signé Julie Gillet. Et entre les deux, il y a plus que des similitudes.

Je ne vais pas les relever ici par le menu, je vous renvoie à l'article publié sur Bookomaton, qui souligne et relève les similitudes qui ne sont tout sauf des coïncidences.

Je vous tiens au courant des suites, si cela vous amuse.

Le minimum, en tout cas, me semblerait de réclamer un droit de réponse pour que le journal cite la véritable source de l'article.

Ce qui m'étonne, ceci dit, c'est qu'en dehors de ces phrases entièrement pompées ailleurs, il en y a aussi quelques autres rédigées par la journaliste elle-même, notamment au sujet de la place de Liège dans le roman. La journaliste a donc lu le roman mais ça ne l'a pas empêchée de piller un article disponible en ligne. Pas une simple question de paresse ou de temps qui presse, donc, mais un vrai problème de déontologie sur laquelle on s'assied. Et c'est de plus en plus fréquent...

Et vous ? Ça vous choque ou pas, ces méthodes de plagiat (en tout cas de citation sans guillemets et citer la source) ?

 

08/09/2009

Making of de la bande-annonce de L'homme qui

Le site actualitté m'a offert une carte blanche pour expliquer comment avait été réalisé la bande-annonce de "L'homme qui valait 35 milliards", ils viennent de la publier ce midi. Si vous voulez la lire, voici l'intro, rédigée par la rédaction, pour la suite, il suffit de suivre le lien.

La vidéo, outil de promotion essentiel pour un écrivain
Et si...


On parle beaucoup de bandes-annonces ces derniers temps, dans la promotion des livres : le marketing viral permis par les réseaux de partage de vidéos comme YouTube ou DailyMotion permette de contourner la difficulté de la publicité à la télévision pour les livres et d'assurer son propre marketing.

Avec plus ou moins de réussite, de talent, de brio ou même de moyens. Mais justement, ce ne sont pas ces derniers qui déterminent la qualité ni l'efficacité de ces clips. Ce serait plutôt l'envie que les auteurs peuvent avoir de développer l'outil vidéo et de parvenir à en profiter pour valoriser leurs ouvrages.

L'un d'eux, Nicolas Ancion, nous a dernièrement contactés pour nous faire part de son expérience dans le domaine, mais également des enjeux que cette nouvelle publicité peut offrir aux écrivains.

Article dans l'Indépendant

Voici l'article paru dans l'Indépendant la semaine dernière (comme leurs archives sont périssables, je double le contenu ici, cela me sert d'archive en ligne).

Enlèvement

Ancion, l'auteur belge, fait kidnapper un milliardaire !

© L'independant

© Photo Ch. Barreau

Nicolas Ancion, écrivain belge installé à Caux-et-Sauzens, vient de publier un nouveau roman. "L'Homme qui valait 35 milliards" raconte l'enlèvement d'un certain Lakshmi Mittal, roi de l'acier...
C'est une maison aux volets bleus, remplie de jouets, sur la paisible place de la Poste, dans le non moins paisible village de Caux-et-Sauzens. D'une sympathie toujours débordante et l'humeur toujours joviale, Nicolas Ancion, l'auteur belge, reçoit son convive. Ne vous fiez pas aux apparences : cet homme nourrit des plans machiavéliques... Son dernier roman, L'Homme qui valait 35 milliards, raconte l'enlèvement du roi mondial de l'acier, le milliardaire indien Lakshmi Mittal, par un artiste contemporain, un travailleur précaire et un chômeur qui se font passer pour des journalistes.

Le dernier d'entre eux a d'ailleurs perdu son emploi à la suite de la fermeture d'un haut-fourneau de Liège, propriété de l'homme d'affaires."C 'est un roman engagé mais sur le ton de l'humour et du loufoque", prévient l'auteur.
Le néo-libéralisme
et ses aberrations

Nicolas Ancion entend ainsi d énoncer, dans son style, le néo-libéralisme et ses aberrations. "Le seul critère de l'évolution, c'est l'argent. Et on voit que c'est un système qui part en c...", commente le néo-Cauxois.
Ce roman a été pensé par l'auteur en 2007 alors que la crise que nous connaissons n'avait pas pointé son nez.
A cette époque-là, Lakshmi Mittal était la quatrième fortune du monde avec 45 milliards d'euros. D'ailleurs, le premier titre de l'ouvrage était intitulé L'homme qui valait 45 milliards.
Cette crise n'épargnant pas les riches, l'auteur a dû revoir l'intitulé avec le nou veau montant de la fortune du roi de l'acier en 2008... Laquelle, paraît-il, s'est à nouveau réduite cette année à 11 milliards d'euros... Mais cette fois-ci, le titre n'a pas été revu.
La sortie de ce roman a fait la "une" des journaux radio à Liège, ville natale de l'auteur.
Il est vrai que cette agglomération wallone subit les conséquences de la crise : 9 000 emplois ont été perdus dans la sidérurgie "alors que le chômage était déjà élevé", précise Nicolas Ancion. Actuellement, le haut-fourneau, propriété de Lakshmi Mittal, est arrêté...
Malheureusement, il s'agit bien d'une réalité et non de l'imagination débordante d'un romancier belge.
L. C.
"L'Homme qui valait 35 milliards", aux éditions Luc Pire Grand Miroir. Dans toutes les librairies depuis le 27 août.
La bande-annonce de la sortie du roman est en ligne sur Youtube.


38 ans et 6 romans

Originaire de Liège, en Belgique, Nicolas Ancion, 38 ans, est installé depuis deux ans avec sa famille à Caux-et-Sauzens. Il est l'auteur de six romans pour adultes, de nombreux recueils de nouvelles (dont "Nous sommes tous des playmobiles") et de plusieurs ouvrages pour la jeunesse.

Le romancier est également critique de bandes dessinées.

02/09/2009

La rentrée littéraire de janvier 2010 se prépare

A la demande de l'agent qui représente les droits de l'illustrateur qui a réalisé ce projet de couverture, j'ai retiré l'image, que l'auteur ne souhaite pas voir publiée. Je garde le fil de discussion, sinon je n'ai plus de moyen de contacter l'agent en question, qui ne m'a pas laissé ses coordonnées.

Je prie l'illustrateur de bien vouloir accepter mes excuses pour la publication de son projet avant impression par l'éditeur. Il n'y avait pas de mauvaise intention de ma part, juste l'envie d'avoir des avis extérieurs.

Si vous aussi vous voulez me faire retirer une illustration dont vous détenez les droits, un simple mail suffit, c'est plus rapide qu'un long débat ;-)

 

Vous aimez les infos exclusives et brûlantes ? Voici avec quelques mois d'avance la couverture de la réédition en poche de "Quatrième étage".

Le roman sortira chez Pocket en janver 2010 et je viens de recevoir à l'instant ce projet de couverture sur lequel on me demande mon avis. Eh bien, je fais appel à l'équipe.

Vous en pensez quoi, vous ?

Vous aimez un peu ? Beaucoup ? Pas du tout ?

Vous avez déjà lu le roman et vous n'aimez pas du tout cette image ? Vous ne l'avez pas lu et ça vous donne envie ?

Allez, prenez le clavier et dites-moi ce que vous en pensez. Après il sera trop tard, le livre sera imprimé !

Merci pour vos commentaires.

28/08/2009

Avalanche de presse pour "L'homme qui valait 35 milliards"

C'est la coulée continue ! Et ça colle bien avec l'histoire du roman !

La sortie de "L'homme qui valait 35 milliards", c'était hier, officiellement, et cela fait qelques jours que la presse parle du livre, très gentiment et très abondamment. Le 27, c'était Vers l'Avenir, La Meuse et Femmes d'aujourd'hui. Aujourd'hui, c'est le Soir (je n'ai pas encore pu lire l'article, je suis un peu loin) et tout un dossier sur le site des métallos de la FGTB 6com.be.

Ils ont même fait une jolie bannière, que voici :

banniere6com.jpg

Si vous voulez lire ces articles et ces interviews, vous pouvez toujours visiter la page presse de mon site.