Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/08/2009

Un concours pour publier votre roman pour ados

J'adore les concours d'écriture. Dès que j'en vois un, je fonce dessus, surtout si - et exclusivement si, d'ailleurs - il est anonyme. VOici que la très sérieuse revue Ado-Livres lance un concours pour trouver un manuscrit de roman pour ados inédit.

Il y a deux jurys, un jury pro (ce sont les adultes qui jugent) et un vrai jury d'ados (qui décident du manuscrit qui leur plaît le plus). La récompense, c'est la publication, tout simplement.

Vous avez un bon manuscrit dans le tiroir de votre disque dur. Alors, qu'attendez-vous ? Voici le règlement résumé puis le règlement complet.

Bonne chance à toutes et à tous !

« Ado-Livres » organise un concours de romans sur manuscrits écrits par des auteurs connus ou inconnus...

Genre(s) et thème(s) au choix !

Dead-line : fin octobre 2009 !
Public-cible : adolescents entre 12 et 16 ans

Ceux qui veulent en savoir plus peuvent laisser un commentaire sur Facebook ou m'écrire sur profsdefrancais@live.fr ou angelique.rousselle@skynet.be.

N’hésitez pas à prévenir vos amis et collègues !

PREMIER CONCOURS D’ECRITURE SUR MANUSCRIT – FCL ASBL

ARTICLE 1

L’Asbl Formation, Culture et Loisirs (éditrice de la revue « Ado-Livres ») organise un concours de romans ouvert à tous les auteurs d'expression française n’ayant pas de contrat pour ce roman-là avec une Maison d’édition.

Sont donc acceptés, d’une part, les manuscrits d’auteurs publiés et, d’autre part, les manuscrits d’auteurs non encore publiés.

ARTICLE 2

Les auteurs déposant un manuscrit non sélectionné pour le concours s’engagent à ne pas poursuivre les démarches de publication entreprises jusqu’à présent et à ne pas en mener d’autres jusqu’à la clôture de la sélection le 30 décembre 2009. Ils s’engagent aussi à refuser toute proposition de publication qui leur parviendrait jusqu’à cette date.

Par ailleurs, la présentation d’une oeuvre au présent prix est exclusive de toute participation à une compétition similaire pour cette oeuvre jusqu’à l’annonce de la sélection le 30 décembre 2009.

ARTICLE 3

Les auteurs déposant un manuscrit sélectionné pour le concours s’engagent à ne pas poursuivre les démarches de publication entreprises jusqu’à présent et à ne pas en mener d’autres jusqu’à la clôture du concours en mai 2010. Ils s’engagent aussi à refuser toute proposition de publication qui leur parviendrait jusqu’à cette date.

Par ailleurs, la sélection d’une oeuvre au présent prix est exclusive de toute participation à une compétition similaire pour cette oeuvre jusqu’à l’annonce des lauréats en mai 2010.

ARTICLE 4

Les auteurs déposant un manuscrit primé acceptent de voir leur œuvre publiée par notre Maison au plus tard le 30 juin 2011.

Au-delà de cette date et en cas de non-publication, ils sont libres d’opter eux-mêmes pour l’éditeur de leur choix.

ARTICLE 5

 

Les candidats garantissent qu'ils sont les auteurs des oeuvres inscrites et qu'ils en détiennent tous les droits. Ils s'engagent à prendre fait et cause pour les organisateurs du Prix pour les pertes, frais, dommages et autres dépenses encourues à la suite de réclamations de toute nature découlant d'une violation de cette garantie, directement ou indirectement.

ARTICLE 6

 

Le gagnant ou, s'il s'agit d’un mineur ses parents ou tuteurs, accepte, le cas échéant, que son nom, son image, plus spécifiquement son portrait, ou sa voix, puissent servir à des fins publicitaires pour les besoins du Prix, sans frais additionnels.

ARTICLE 7

 

La participation au concours est gratuite.

ARTICLE 8

Le manuscrit doit être inédit mais il peut traiter de n’importe quels thèmes et relever de n’importe quel(s) genre(s). Mais il doit d’adresser aux adolescents entre 11 et 16 ans.

ARTICLE 9

Le manuscrit doit comporter 100 000 caractères (espaces non compris) au minimum et 300 000 (espaces non compris) au maximum.

ARTICLE 10

 

Chaque auteur peut présenter au maximum deux manuscrits.

ARTICLE 11

Chaque manuscrit sera envoyé au format word* (et non en pdf) par mail à l’adresse « profdefrancais@live.fr » pour le 30 octobre à minuit au plus tard.

Dès réception, un mail de confirmation sera adressé à l’auteur dans les cinq jours.

* L’association effectuant elle-même les photocopies destinées aux nombreux  membres du jury, elle souhaite pouvoir réduire au maximum les frais de photocopiage.

ARTICLE 12

 

Deux jurys seront constitués afin de primer les meilleurs ouvrages :

-  Les prix du public seront attribués par les adolescents (de 11 à 18 ans).

- Les prix des professionnels seront attribués par des professeurs de français et des étudiants de français.

ARTICLE 13

Les décisions du Comité  d’organisation sont sans appel. Il se réserve le droit de ne pas désigner de lauréat si le niveau des textes soumis est jugé insuffisant.

ARTICLE 14


Le fait de participer au concours implique l'acceptation du présent règlement.

16/08/2009

Première rencontre de la rentrée littéraire

C'est avec grand plaisir que je serai le vendredi 21 août à la librairie Lire entre les Vignes à Sainte-Maxime pour une rencontre avec les lecteurs en tongs et les lectrices en paréo.

Venez bronzés, venez coup-de-soleillés, venez comme vous voulez mais vemez nombreux.

Ce sera l'occasion de découvrir ensemble "L'homme qui valait 35 milliards" que je tiendrai en mains pour la première fois ce soir-là.

A Sainte-Maxime, donc.

Le 21 août 2009.

A 19h30.

A bientôt !

14/08/2009

La bande annonce de L'homme qui valait 35 milliards

Elle est enfin en libre circulation, la voici rien que pour vous (et tous ceux qui le souhaitent, bien sûr, n'hésitez pas à la faire tourner), la bande annonce de mon nouveau roman.

Je n'en dis pas plus, j'attends vos commentaires.

 

 

25/05/2009

Pendant que ce blog dort

philippe_beranger_portrait_2.jpgOn ne peut pas tout faire en même temps et le reste à la fois. A moins de tout bâcler, ce qui ne me plaît qu'à moitié.

Si ce blog est en léthargie depuis quelques semaines, c'est parce que je suis très actif et que je manque de tmeps pour l'alimenter. J'espère que les lecteurs fidèles me pardonneront, que les visiteurs de passage ne m'en voudront pas. C'est pour la bonne cause, j'ai plusieurs pains sur la planche et il faut que je boucle des manuscrits.

Puis j'ai beaucoup voyagé ces dernières semaines, j'étais au Salon du Livre de Prague pour la sortie de mon recueil de nouvelles "Nous sommes tous des playmobiles" en tchèque, j'étais à Palerme et à Messine pour une série de rencontres autour de la traduction italienne (en chantier) de "Nous sommes tous des playmobiles" à nouveau et de mon roman pour ados "Carrière solo". Que du bonheur donc.

Et pendant que je saute d'un hôtel à l'autre, j'écris à longueur de journée (et de nuits parfois) pour achever plusieurs projets en cours :

  • L'ombre de la Tour Eiffel (roman pour enfants) ;
  • L'homme qui valait 35 11 milliards (roman pour adultes) ;
  • Contre la montre (roman pour enfants).

Le troisième est à achevé, le deuxième au stade de la correction et le premier arrive dans la dernière ligne droite. Après ça, je vais pouvoir respirer mais pas trop longtemps, les projets ne manquent pas...

En attendant, si vous êtes à Nîmes pour la Feria de Pentecôte, particulièrement samedi soir, vous pourrez me rejoindre pour une

LECTURE SURPRISE

de deux nouvelles du recueil Arequipa (Editions Au Diable Vauvert)
à l’Alegria - Espace Chouleur – 6, rue Fresque
Philippe Béranger lit Fin de course, de Nicolas Ancion
François Kopania lit
Torero, pointure 36, de Gerald Gruhn

c'est donc le Samedi 30 mai – 21 h 30

Vous voilà prévenus. Si vous n'y êtes pas, c'est que vous avez mieux à faire.

On se verra une autre fois, les occasions ne manquent pas.

PS : la photo, c'est un portrait de Philippe Bélanger par Didier Leclercq merci à lui !

22:37 Publié dans Ecriture | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : ecriture, roman, nouvelles, littérature, corrida, nîmes, hemingway | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer

14/04/2009

Le livre que je n'ai pas lu

ancion.jpgJ'aime beaucoup dire, en boutade, que je n'ai pas lu tous mes livres. Je ne suis pas le seul, d'ailleurs; une consoeur plus connue (et plus lue) que moi, Victoria Beckham avait un jour déclaré en intreview n'avoir jamais lu un seul livre de sa vie. La journaliste - pas très douée pour la répartie, malheureusement - n'a pas pas pensé à lui poser la question qui m'aurait brûlé les lèvres : "et le livre que vous avez publié vous-même, vous ne l'avez pas lu non plus ?" En réalité, la réponse va de soi, elle ne l'a pas plus lu qu'elle ne l'a écrit. Et l'interview touche à sa fin (si vous posez des questions pareilles, d'ailleurs, vous ne risquez pas d'interviewer souvent des ex-spice girls anorexiques).

Je réponds parfoir que je n'ai pas relu entièrement la version du texte qui a finalement été publiée par l'éditeur pour certains de mes romans. Quand on en est aux quatrièmes corrections sur un même manuscrit, on fait comme tout bon lecteur, on saute des passages (surtout qu'on les connaît par coeur ou presque). Mais dans le cas qui nous occupe, c'est parfaitement vrai, je n'ai pas lu la version numérique de "Comme un donut perdu dans un champ de tabac" que je publie au Québec chez Robert ne veut pas lire. Et cela pour deux raisons.

La première c'est que je ne possède aucun des outils sophistiqués sur lesquels ces livrels se laissent lire avec plaisir (Kindle, Reader, iPhone et autres PDA 3G). La seconde c'est que le roman n'est pas encore achevé, je l'écris par épisode et, même si j'ai une longueur d'avance sur mes lecteurs, je n'en sais guère beaucoup plus qu'eux.

Grâce à ce blog (joliment nommé De tout sur rien), néanmoins, j'ai pu découvrir à quoi ressemble mon livre en version publiée. C'est joli, on dirait une vieille télé monochrome. Pourvu que ce que je publie ne soit pas aussi fade que les feuilletons de l'époque !

21/03/2009

Tout doit disparaître (sauf la littérature)

recto_nous_disparaissons.jpgIl faut un talent hors du commun pour se lancer dans un sujet casse-gueule et en tirer un très bon roman. Scott Heim démontre, avec « Nous disparaissons », son second roman, qu'il a la trempe et le culot nécessaires à pareille entreprise.

Le roman raconte comment Scott, le narrateur, empêtré dans sa dépendance à la méthamphétamine, quitte New York et son boulot alimentaire pour rejoindre sa mère, au fin fond du Kansas, afin de l'assister dans ses derniers jours, suite à l'avancée de sa maladie. Mais Dona, la mère, a bien changé depuis la dernière fois qu'il l'a vue. La maladie l'a affaiblie, certes, mais elle est surtout obsédée par les disparitions d'enfants qui se produisent dans tout le pays, obnubilée par la recherche de témoignages, de preuves et, qui sait, de coupables. Elle interroge les parents, visite les lieux de rapts, collectionne les coupures de presse.

Pour le lecteur belge, qui a vécu les années de comités blancs, la chasse aux sorcières et aux réseaux, la traque des magistrats et notables cachés derrière les enlèvements d'enfants, et bien d'autres formes de paranoïa collectives qui ont vicié les débats et la vie publics durant plusieurs années, jusqu'au procès définitif de Marc Dutroux, l'idée de suivre une mère et son fils dans leur quête des méchants inconnus qui s'en prennent aux enfants angéliques, même dans un texte de fiction, a tout pour déplaire. Et pourtant... une fois acceptée l'idée (si on ne l'accepte pas, on repose le roman avant même de l'ouvrir car le contexte est posé dès les premières lignes), on découvre un roman dont le sujet est tout autre, bien plus profond et touchant que la quête des coupables, porté par un couple de laissés pour compte terriblement humains.

D'un côté, il y a une mère alcoolique en rémission, cancéreuse au stade avancé, gentille et entière, dont la raison semble avoir basculé pour de bon de l'autre côté de cette fine frontière qui départage le bon sens du délire. De l'autre, un fils toxicomane, timide, mal à l'aise, excité par les produits qu'il fume ou inhale, assommé par les somnifère qu'il avale chaque soir. Une belle paire de déchets aux yeux de l'Amérique bien pensante ? Non, deux Américains comme tant d'autres, justement, en vie malgré tout, à l'instar de tous les autres personnages que l'on croise dans cet épais roman : une voisine plaquée par son mari, un gamin en fugue, des habitants du coin accueillants mais tous portés par une sorte de nonchalance dépressive, qui devrait faire peine à lire et n'inspire pourtant que de la compassion et de la sympathie.

Car il y a bien un tour de force dans l'écriture de Scott Heim, une sorte de manœuvre de prestidigitateur, qui, à partir d'un sujet sombre, voire plombant, parvient à atteindre l'essence même de ce qui fait l'espèce humaine, ce fil d'humanité qui se transmet d'une génération à l'autre, qui survit à la mort et dépasse la simple mécanique de chair et d'os ou les rapports de force qui lient les êtres entre eux. Difficile d'en dire plus sans dévoiler l'épaisseur même du roman, qui ne se révèle que dans les dernières pages, quand le titre du livre se met à résonner d'une tout autre façon aux oreilles du lecteur, quand les disparitions d'enfants cèdent la place à des disparitions d'un tout autre type, moins spectaculaires sans doute, moins alarmantes et moins émotionnelles, mais probablement plus humaines, tout simplement.

L'écriture de Heim est sans fioriture, elle se borne à raconter les faits, à rendre compte du déroulement des journées, et c'est par cette objectivité précisément qu'elle parvient à rendre palpable et vertigineuse la sensation que nous aussi, un jour, nous disparaîtrons, comme tout le reste.

 

« Nous disparaissons » est un roman de Scott Heim, traduit de l'américain par Christophe Grosdidier, publié Au Diable Vauvert. Le même éditeur avait déjà publié son premier roman, « Mysterious skin », il y a quelques années. Pour les fans de détails techniques, il y a 380 pages et le bouquin coûte 23 euros, qu'on ne regrette pas.

 

 

26/01/2009

Du roman sur votre téléphone portable

chiottes et pc.jpgLa question à un centime (de franc français, de franc belge ou suisse ou même d'euro, peu importe), qui revient sous la plume des journalistes comme la floche au-dessus de la tête, à chaque tour de carrousel, c'est celle qui consiste à savoir quand la lecture sur les horribles machines électroniques supplantera la lecture sur papier.

La preuve, encore un billet à ce sujet publié récemment au Canada, qu'on peut lire ici.

La seule réponse que j'aime c'est celle qui consiste à dire que c'est déjà le cas depuis longtemps.

Je passe bien plus de temps, et je ne suis pas le seul, à lire sur mon écran bien plus que sur papier. Internet est devenu mon premier loisir, loin devant tous les autres, c'est à travers le courrier électronique que je suis en contact avec les éditeurs, les lecteurs et les critiques, c'est à travers les blogs que je suis l'actualité du livre, c'est sur des sites web spécialisés que je trouve la documentation pour mes propres histoires, des dictionnaires compétents, des atlas pointus, des encyclopédies d'une richesse incroyable. Et je lis encore bien d'autres choses, de l'actualité, surtout, parce que le web se nourrit de vitesse et de nouveauté comme le WC de déjections.

Le pire, c'est que je ne suis pas le seul. On chatte, on passe du temps sur Facebook, on twitte. Tout ça c'est du texte. Et c'est de la lecture.

Alors, la question n'est pas de savoir quand on lira sur des écrans plutôt que dans des livres mais... quand se mettra-t-on enfin à lire des choses intéressantes sur tous ces écrans ? Quand la littérature, la vraie - celle qui bouscule et irrite, celle qui fait sourire et émeut, celle qui change le monde -, fera-t-elle son entrée sur l'Internet et les téléphone portables ?

Dès que j'attaquerai pour de bon ce roman pour téléphone portable ?

Non, sérieusement, à votre avis, ça commence quand, la littérature sur le Net ?

09/01/2009

Quatrième de couverture de L'homme qui...

2207431055_934cf78257.jpgUne ville un poème me demande d'en dire un peu plus sur ce roman achevé il y a 16 heures à peine... quand un lecteur est curieux, peut-on vraiment refuser de lui offrir quelques mots à lire ?

Non, bien entendu.

Et comme de nombreuses requêtes arrivent sur ce blog à la recherche de "quatrième de couverture" ou de "résumé roman Nicolas Ancion", voici une proposition de C4 pour ce roman qui n'a pas encore passé une nuit complète. L'exercice est amusant, non ?

Ça me permet de signaler aux lecteurs peu habitués des moeurs et usages du milieu de l'édition que la plupart des éditeurs demandent aux auteurs de soumettre eux-mêmes une proposition de texte pour afficher au dos de leur livre. Ils retravaillent ce texte par la suite, le formatent pour coller à leur canevas de mise en page, le polissent pour le rendre plus vendeur, plus putassier, mais tout de même, la base, c'est souvent l'auteur qui la fournit.

Voici donc une première proposition.

Est-ce que ça donne envie d'ouvrir le bouquin ?

L'homme qui valait 45 milliards

 

Un jolie fille en bottes court à travers la ville, un vieil homme attend le visite de son fils toxicomane, un ouvrier sidérurgiste a décidé de ne pas se laisser marcher sur les pieds et un artiste conceptuel passionné d'art vidéo passe à l'action. Au même moment, l'un des hommes les plus riches du monde, magnat de l'acier passé maître dans l'art du licenciement collectif, rend visite à de hauts fonctionnaires de la Commission européenne. Voilà les ingrédients de ce roman explosif, à mi-chemin entre la réalité sordide des frères Dardenne et l'impertinence pâtissière de l'Entarteur. Nicolas Ancion réussit le tour de force d'émouvoir et de faire rire dans le même élan. « L'homme qui valait 45 milliards » est un roman palpitant, une fresque juste et écorchée, qu'on garde longtemps en mémoire.

 

Tu es à présent le geôlier de l’un des hommes les plus riches de la planète. Le rôle te plaît. Comment tu en es arrivé là, tu ne pourrais pas l’expliquer en deux mots. Moi non plus, d’ailleurs. Il va falloir y consacrer tout un chapitre.

Ou plus.

On verra.

Est-ce que ça donne envie d'ouvrir le bouquin ?

 

PS : le stormtrooper qui lit dans une librairie, c'est un clin d'oeil au boulot de traduction d'un roman de la série Star Wars, que je continue encore, à côté de l'écriture de fiction.