14/11/2011
Je me numérise à Gare au Théâtre
Je suis en ce moment en résidence d'écriture à Vitry-sur-Seine, à l'invitation de Mustapha Aouar et de l'équipe de la Compagnie de la Gare. La résidence bénéficie du soutien de la Région Île de France.
D'ici quelques semaines, je devrais avoir achevé le texte d'une pièce de théâtre qui sera créée à par la compagnie, à Gare au Théâtre, au cours de la saison 2012. La pièce s'intitule « Je me numérise » et j'essaie d'y parler, très concrètement, des mutations profondes que notre monde traverse en ce moment. Oui, oui, l'arrivée massive des Chinois comme financiers du monde et fabricants de tout. Oui, oui, les caméras de surveillance et le flicage du web. Oui, oui, le tout au numérique et les réseaux sociaux. Oui, oui, la grande solitude des villes et la santé mentale défaillante.
Enfin, j'espère que je mettrai tout ça dedans, comme on cuisine un plat au four avec tous les restes de la veille, en ajoutant de l'ail et une couche gratinée pour enrober le tout et le rendre un peu moins fade...
Jeudi soir, j'ai donné une première lecture du début du texte. Un quart d'heure chrono, pas plus, puisqu'on m'avait suggéré de lire « maximum vingt minutes ».
(C'est une vieille leçon que j'ai retenue, après une de mes premières soirées de lecture où j'ai vu comment Pierre Mertens montait tout le public contre lui parce qu'il lisait deux fois plus longtemps que les autres auteurs, puis Nicole Malinconi et Jean-Luc Outers endormir le public à lire des extraits de roman saisis hors contexte. Il y a prescription, les événements ont eu lieu il y a plus de dix ans, je peux donc révéler les noms de ceux qui m'ont enseigné, un peu malgré eux, il est vrai cette règle d'or : toujours faire court. Si possible émouvoir les gens – et je compte le rire parmi les émotions les plus agréables à partager. Lire bref et tonique. Préférer cinq bonnes minutes qui donnent envie d'en entendre plus à vingt-cinq minutes dont dix sont de trop.)
Grand soulagement : le texte a été bien accueilli. Le public a ri. Il a réagi quand il le fallait, alors que l'exercice de lecture, par une seule voix d'une pièce de théâtre à trois personnages est un vrai casse-gueule, d'où le texte ressort forcément amoché.
Après ça, soirée cabaret par Monsieur Delagare et Cie (Mustapha Aouar et son orchestre au complet : Rico et Aurélien) à partir des textes de mon recueil « Métro boulot dodo » (éditions l'Arbre à Paroles). Le spectacle s'appelle « Boulododo » et il sera rejoué à la mi-décembre trois soirs d'affilée. J'avais mon téléphone, j'étais assis dans le fond, je me suis donc permis de filmer un petit bout qui vous donne un aperçu de ce que ces trois énergumènes peuvent produire à partir de petits textes en prose... Ce morceau est particulièrement calme et posé, par rapport à l'ensemble du spectacle.
Bon, à côté de l'écriture, une résidence d'auteur, c'est aussi beaucoup de rencontres.
Au cours des mois de septembre et d'octobre, j'aurai rencontré 12 classes des lycées et collèges de Vitry-sur-Seine, soit plus de 300 élèves de troisième et de seconde au total, qui ont tous lu (en détail et sans sauter un mot, ça s'entend dans leurs questions) mon recueil de nouvelles « Nous sommes tous des playmobiles ».
Maintenant, on passe aux choses sérieuses. Avec une bonne partie de ces jeunes gens, nous allons écrire des épisodes de série télé. Sans doute une soixantaine d'épisodes au total d'ici la fin mars. Qui dit mieux ?
Si ça vous intéresse, je vous donnerai des nouvelles de tout ça dans les prochaines semaines.
19:08 Publié dans Ecriture, Livres en cours, Musique, Théâtre en cours | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gare au théâtre, nicolas ancion, je me numérise, atelier, résidence, écriture, Île-de-france, théâtre | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
14/10/2011
En dédicace ce dimanche 16 à Montolieu
Pour ceux qui se promènent dans l'Aude les jours de grand soleil (et, de ce côté, on a été gâtés depuis juillet), je serai ce dimanche 16 octobre à Montolieu, sur le stand de la libraire Mots et Cie (qui se déplace de Carcassonne pour l'occasion) afin de signer "Momies et compagnie", à l'occasion du salon Odyssée, consacré à la littérature de jeunesse et au voyage.
Le programme plus détaillé peut être trouvé par ici.
Quant à moi, je devrais être sur place à partir de 14h environ.
Au plaisir !
22:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
13/10/2011
ArcelorMittal ferme le dernier haut-fourneau de Liège
L'annonce est tombée hier en fin de journée : ArcelorMittal met un terme à la sidérurgie à chaud à Liège.
Ca jette un fameux froid sur la Cité Ardente. Le choc est profond.
Et pourtant tout était annoncé depuis des années. Le détestable jeu joué par le groupe ArcelorMittal, ce chantage permanent aux aides publiques et aux réductions d'impôts, ne laissait pas planer le moindre doute sur l'avenir du bassin liégeois : ils allaient tout fermer. La date était d'ailleurs dépassée depuis plusieurs années. Le maintien de l'activité avait été une surprise. Sa fin ne pouvait en être une.
Je partage le désarroi de la population, l'effroi des ouvriers, la crainte de toute la région.
J'entends que les syndicats vont mobiliser les troupes, j'entends les hommes politiques se relayer pour clamer leur indignation.
Tout cela est inutile et vain. Tout cela arrive trop tard.
C'est contre ceux qui ont vendu Arcelor au groupe Mittal qu'il faudrait se retourner, contre ceux qui ont fait croire que la fermeture n'était pas inéluctable, contre ceux qui avaient pour mission publique de mettre en place la reconversion du bassin et qui n'ont rien fait, contre ceux qui ont détourné l'attention de la population de ce problème majeur pendant des années et des années. Contre tous ceux qui ont accepté de dormir sur leurs deux oreilles depuis des décennies en espérant que le malheur annoncé n'arriverait pas.
Puis contre celui qui a le pouvoir, à lui seul d'inverser le cours des choses. Ou de les laisser aller à leur perte tout en tirant des dividendes.
Dans la même journée du mercredi 12 octobre 2011, ArcelorMittal a annoncé que l'entreprise était modérément optimiste pour les prévisions de demande d'acier mondial et qu'elle fermait la phase à chaud à Liège.
Le problème est si complexe qu'on ne le résoudra ni avec une manifestation ni avec des cris d'indignation.
On ne le résoudra pas.
Pas même dans la fiction, je peux vous le garantir. J'ai essayé et ça ne marche pas.
PS : le hasard du calendrier éditorial fait que mon roman où je raconte l'enlèvement de Lakshmi Mittal par des Liégeois est disponible en poche depuis le 6 octobre. Il ne résoud rien, c'est certain, mais il ose rêver que quelques types, quelque part, au lieu de rester assis à attendre un miracle, se lèvent et kidnappent l'un des hommes les plus riches du monde, celui qui a mis tous les ouvriers dans la merde.
09:17 Publié dans Ecriture, Liège | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : arcelormittal, liège, ougrée, fermeture, haut-fourneau, nicolas ancion, lakshmi mittal, roman | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
11/10/2011
L'homme qui valait 35 milliards, la bande annonce
11:43 Publié dans Ecriture, Liège | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lakshmi mittal, roman, enlèvement, arcelormittal, livre, lecture, poche, rentrée littéraire | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
08/09/2011
Quand un éditeur papier chasse le gourou du livre numérique
Il y a une dizaine d'années de cela, je m'occupais du département d'édition numérique d'une maison d'édition belge. Dans ce cadre, j'avais monté un projet intitulé Babelexpress, soutenu par le programme culture de l'Union européenne, qui mettait gratuitement à disposition du public sur le web, des textes des 103 auteurs européens qui avaient pris part au fabuleux Train de la Littérature durant l'été 2000.
(Il faudra un jour que je prenne le temps de raconter cette merveilleuse aventure de train – je l'avais fait jadis pour le journal Le Soir mais j'ai perdu les fichiers lorsque mon site web a été supprimé par l'hébergeur.)
Chaque auteurs, originaire d'un des 48 pays du continent, du Liechtenstein à l'Islande, de l'Arménie à la Biélorussie, avait écrit dans sa langue maternelle deux textes (cela amenait un total de 57 langues différentes) et ces textes avaient été traduits en russe, espagnol et allemand. Au total, il y avait 4 versions linguistiques des 206 textes, soit près de 800 textes littéraires mis à la disposition du public.
Michael Hart, qui est décédé hier, m'avait contacté lors de son passage à Bruxelles. Il avait eu vent du projet et voulait intégrer ces textes à ceux du projet Gutenberg, qui comptait déjà des milliers de textes, surtout en anglais, à son grand regret, et visait à mettre la littérature à disposition de tous sous format numérique, dans le monde entier.
Nous avions rendez-vous à la Foire du Livre de Bruxelles, sur le stand de l'éditeur pour lequel je travaillais. Souriant, ouvert et très décontracté, il portait quelques sacs en bandoulière autour de son embonpoint très nord-américain, puis des sandales, un t-shirt et un short (au mois de mars en Belgique c'est plutôt rare). Pour le dire simplement, il ne cadrait pas vraiment avec l'image que le directeur de la maison d'édition se faisait du client idéal pour ses livres papier. Après notre conversation, Michael était resté assis à la table : je voyais le directeur de cette petite maison d'édition déambuler autour du fondateur du projet Gutenberg, qui, à ses yeux, faisait tache devant les étals de livres à couvertures glacées et empêchait les clients de consommer.
Après quelques minutes, le directeur s'est approché de Michael Hart et lui a demandé de partir. L'Américain ne comprenant pas le français, l'éditeur a haussé le ton et l'a proprement envoyer promener... ailleurs que sur l'espace qu'il louait pour la durée de la Foire.
Je suis allé présenter mes excuses à Michael pour cette désagréable altercation. Il ne s'en souciait pas trop. Il avait assez de projets en tête pour ne s'embarrasser de ceux qui jugent les gens d'après leur physique, j'imagine. Quand j'ai expliqué au dynamique directeur qui il venait de malmener ainsi, il n'a pas fait mine de regretter son geste. A la Foire du Livre, il n'avait qu'un objectif : vendre des livres.
Lui qui rêvait de devenir un jour le Gallimard belge n'était même pas capable de comprendre l'importance capitale de Michael Hart dans l'histoire du livre. Même s'il dirigeait une maison d'édition numérique, il n'avait pas conscience que sans des rêveurs dynamiques et dévoués comme Hart, son département d'édition en ligne n'aurait même pas été pensable.
Avant toute exploitation commerciale, il y a toujours le travail utopique d'un humain qui imagine ce qui n'existe pas encore et qui, par sa simple pensée, lui donne naissance.
Je pense que bon nombre d'éditeurs, aujourd'hui encore, ne perçoivent pas l'importance du livre numérique et son apport capital en matière de démocratisation réelle de l'accès au savoir et à la culture.
C'était le credo de Michael Hart.
Qu'il repose en paix !
(Photo : Michael Stern Hart et Gregory Newby, cofondateurs du Projet Gutenberg en 2006. Source : Wikipedia)
Et si vous voulez en savoir plus à son sujet, une très belle nécrologie est publiée ici.
17:57 | Lien permanent | Commentaires (3) | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
07/09/2011
Balade littéraire pour les Journées du patrimoine
Cette année, les Journées du Patrimoine ont choisi pour thème "Des pierres et des lettres". Elles invitent à redécouvrir les sites et monuments de Belgique sous le regard torve des littérateurs.
C'est ainsi que la commune de Soheit-Tinlot, fortement malmenée dans mon roman "Ecrivain cherche place concierge" vous convie à une jolie balade littéraire à la découverte du "plus laid village du monde" (si l'on en croit le roman).
Voici l'invitation. Si vous avez envie de découvrir un village du Condroz autrement, ce week-end, laissez-vous guider !
JOURNÉES DU PATRIMOINE
10 et 11 septembre
LE VILLAGE de SOHEIT-TINLOT
Soheit-Tinlot est-il en train de renaître de ses cendres ? Une petite balade au cœur du vieux Soheit nous fera découvrir les curiosités cachées de ce petit village condrusien. Avec le regard critique de Nicolas Ancion, qui traite le sujet dans «Écrivain cherche place concierge», nous chercherons à comprendre comment ce patelin survit aux avatars du 21e s.
• Organisation : École Sainte-Reine de Tinlot.
• Ouverture : samedi et dimanche de 14h à 18h.
• Visites guidées : samedi et dimanche de 14h à 18h toutes les heures par groupe de 10 visiteurs max. (durée : 1h).
• Animation : pour les adultes et les enfants, circuit de découverte en compagnie des élèves de 5e et 6e primaire de l'école Sainte-Reine.
• Renseignements : 085/51 10 29 (du lun. au ven. de 9h à 16h).
09:55 Publié dans Rencontres publiques | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : nicolas ancion, soheit-tinlot, ecrivain cherche place concierge, balade, journées du patrimoine, 2011 | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
24/07/2011
Le Poète fait sur scène - fêtons le théâtre loin d'Avignon
A l'occasion du festival "Nous n'irons pas à Avignon" à Gare au Théâtre à Vitry-sur-Seine et pour célébrer le célèbre festival de théâtre (presque du même nom) dans la Cité des Papes en même temps (ben oui, on peut manger à tous les râteliers, quand on a la dent longue), voici un premier texte extrait du recueil "Le Poète fait sur scène" - les aventures du poètes, tome 3 (paru aux Editions de la Gare dans le livre "Sans faire de bruit sans faire de vagues".
Bonne lecture et bel été à vous !
Entrée en scène
On a vu le poète entrer
Dans une cabine téléphonique
C’est ce qu’on dit
Il n’en est pas sorti
Il n’en sort jamais
Il a cédé la place à un grand type costaud
Les cheveux longs les joues hirsutes
Avec une voix de cave qui réchauffe les femmes
Et un regard de braise qui les fait grésiller
Le poète a changé de rôle
Le voici comédien
Homme de théâtre dit-il
Comme on dit homme d’Eglise
Homme d’Etat homme du monde
Homme orchestre
Homme battu
Homonyme
Je me fonds dans la foule
Je me fais taximan je me fais violence
C’est pour sentir le rôle
Et le poète inspire une grande bolée d’air frais
Qui aère ses veines
Lui ventile le cerveau
Je ne suis plus qu’un homme objet
Au service du texte dit-il
Je suis un mot dans une phrase
Une phrase dans un très beau discours
Un discours dans la bouche d’un personnage
Un personnage perdu à la surface du monde
A un moment donné et vite repris
Par le torrent du temps
Je ne suis même pas ça dit le poète
Je suis une petite lettre un accent
Dans un mot du discours
D’un pauvre type sur la terre
Que je ne suis pas
Un quidam
Que je rêve à haute voix
C’est ça mon boulot de comédien
Dit le poète fort en verve
C’est comme ça que je suis désormais
Je me fonds dans la foule
Je me coule
Une pierre au fond de la rivière
Et j’observe
Le plus beau des silences
Un silence habité
Un silence qui vibre
Le silence de la scène
C’est mon silence à moi
Dit le poète
Accoudé au bar
Aux côtés d’une rousse à gros seins
Je suis comédien
Sans boulot pour l’instant dit-il de sa voix chaude
Mais j’observe le monde
Rien que dans ce décolleté
Et dans vos yeux
Je lis tout le tumulte
Toute la violence et la beauté
Du monde qui nous entoure
Evidemment si je pouvais voir plus bas
Plus loin encore
Ce n’est pas moi qui souhaite
C’est la méthode
Actor’s studio Stanislavski
Tout doit finir au lit c’est bien connu
Si je pouvais approfondir
Vous saisiriez
La mesure de mon talent
Et toute ma verve
Le poète à longs cheveux se prend un verre de Schweppes
Droit sur les joues bien drues
La rousse s’est défilée
Restent la bière et le bar
Les deux autres piliers
De la carrière d’acteur
10:30 Publié dans À lire en ligne, Ecriture, Poésie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : avignon, gare au théâtre, théâtre, poésie, nicolas ancion, les aventures du poète | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer
29/06/2011
Tout savoir sur "Momies et compagnie"
J'ai reçu de nombreuses questions au sujet de mon nouveau roman jeunesse, depuis que la diffusion de la bande annonce a démarré. Je vais tenter d'y répondre le plus précisément possible.
Qu'est-ce que ça raconte, Momies et compagnie ?
Alex et Maya sont frère et sœur, ils arrivent en train à Paris pour passer quelques jours chez leur grand-mère. Les vacances devaient être tranquilles mais les deux enfants vont bientôt se retrouver sur la piste d'un parchemin volé puis de momies du Louvre disparues mystérieusement... Enquête, poursuites, sorcellerie... il y en a pour tous les goûts.
C'est pour qui ?
Il n'y a pas d'âge pour lire les livres. Il faut savoir lire, je pense, parce que les illustrations de Bruno Tatti ne suffisent pas pour comprendre l'histoire. Je dirais que tous les lecteurs à partir de 10 ans peuvent se plonger dans les aventures d'Alex et Maya. Et je leur conseille de le faire, d'ailleurs !
Ca ressemble à quoi, sous la couverture ?
Le roman est illustré en noir et blanc et, dans les marges, le texte a été annoté par Alex et Maya eux-mêmes : renseignements complémentaires, dessins, photos, schémas. Pour tout comprendre en profondeur.
Voici un exemple de double page :
C'est qui, Alex et Maya ?
Physiquement, déjà, ils ressemblent à ça :
Ensuite, on peut dire qu'Alex a le don des langues et des codes, il parle couramment une bonne dizaine d'idiomes et la chimie n'a pas de secrets pour lui. Maya, elle, est plutôt passionnée par la technologie et la programmation. A eux deux, ils forment une fameuse équipe...
C'est qui, l'éditeur ?
« Momies et compagnie » est publié chez Graine 2 éditions. Voici d'ailleurs la couverture :
Et l'ISBN pour faciliter la commande en librairie : 978-2-917537-28-2
Est-ce qu'il y aura une suite ?
Ah oui, bien entendu ! Le nouvel épisode est déjà en préparation. On retrouvera bientôt Alex et Maya pour une nouvelle aventure pleine de mystères et de rebondissements... à Londres ! (Ca, c'est un scoop.)
Et il est bien, ce bouquin ?
Ah ben ça, c'est à vous de me le dire ! Bonne lecture, en tout cas...
17:42 Publié dans Ecriture, Livres en cours, Notes de lecture | Lien permanent | Commentaires (2) | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer